Salut frangin Kendor
Toi qui habites ton rêve,te voilà qui me guides vers ton coeur et ton corps en poésie classique tissée sous des règles sévères mais qui libèrent ,je te dis merci pour ce très beau poème où tu as réuni deux corps,deux ceours en harmonie parfaite,une scène d'amour on ne peut plus agréable à la lecture !
Amitiés
Farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




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Merci à vous, ce texte est écrit en alexandrins avec rimes intercalées à chaque césure (chaque pied sixième a sa rime comme chaque douxième) c´est de la poésie dans son pur classicisme et dans le respect de l´art mais voilà... Marre des donneurs de lecons sur certaines lectures (à titre informatif je le concois sans soucis). La poésie n´a qu´une seule et unique règle, celle du besoin ou du plaisir de s´exprimer d´ailleurs un simple regard balaye tous les mots s´il est vrai de profondeur. Les règles sont dictées, alors à la poétesse ou au poête d´en faire ce que bon lui semble car tel est son rôle : braver et aimer. Ceux qui légifèrent ici veulent que vous sachiez qu´ils savent. Qu´importe ! Je découvre de merveilleuses choses là où les lois classiques sont bafouées parce qu´elles le sont et pourvu que cela dure tant je me sens bien en Oasis ! J´ai fini ma colère, il le fallait et je vous aime au travers vos poétiques aveux. Les sentiment exprimé prévaut sur tout et Brabancia, Rocky vous savez cela alors impatientez- moi encore de vous lire.

un tres joli poeme tout en douceur

Merci pour cette magnifique lecture !!

Sandrine

A l´orée de jours d´où naissent les passions,
Au lit de nos amours drapé de sensations,
Le temps est là qui bat, d´un rythme langoureux,
Présage aux doux ébats de nos coeurs amoureux.
Aux lisières de toi se boit, à la fievre,
Cette pause en émoi aux feux de ta levre.
Tels, en mai, ces muguets que s´offrent les amants,
Nos désirs, aux aguets, fleurissent lentement.

Mille fruits défendus mûrissent tentation.
A nos corps confondus se mêlent émotions.
La chair nous rappelle à ces gestes précieux
D´extase comme aile qui porte vers les cieux
Et le temps s´interompt, nous tienne le frisson !
Le plaisir nous corrompt en la belle unisson.
Un ciel, en septième,d´azur nous accueille,
Aux larmes je t´aime, mes pleurs tu recueilles.

TADAMADON