Très touchante confession.

Bonsoir Plumedoie,

La rue peut-être beauté si nous admirons toute la beauté de l'architecture de bâtiments, de monuments ou autres, de parcs ou jardins...
Elle peut être l'enfer pour tous ceux vivant à l'extérieur sans toit, mais aussi une jungle où la perversité peut régner...

C'est une magnifique poésie émouvante qui conte si bien une des tristes réalités de la vie !



Belle soirée cher ami poète Plumedoie !
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Bon soir

La rue est un éternel combat pour les sans-abris car pour survivre il doivent être très vigilant pour protéger leurs vies.

Je te souhaite une excellente soirée.

Pascal.

Bonjour , la rue est un monde terrible je n'imagine pas que nous pouvons nous mettre à leur place, le froid , le manque de nourriture , la violence , la violence des regards des passants, que ferions nous a leurs places?
Le constat est alarmant en 2023 : 13 % de sdf en plus dans l'indifférence politique, les restes du coeur ne s'en sortent plus
Bravo
Mes amitiés
Yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

Bouche cousue et ventre ouvert...

La rue reste pleine de mystères...

Attention aux immondices...aux actes pervers...

Fort ressenti en tes mots Denis,merci...

Superbe !
J'adore ce langage codé de la rue !!

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Amitiés
Joëlle

c'est en observant les passants dans la rue qu'on remarque l'indifférence humaine
superbement dit

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

Je lis les regards de la rue.
Des têtes sans âge, ni émotions,
D’autres tristes et perdus,
Et de rares sourires et d’attention.

Je lis les pieds de la rue.
Point de marche militaire,
Des pieds lents et biscornus,
Et quelques autres qui accélèrent.

Je lis la foule de la rue.
Comme la vague océane,
Un pendule de crue et décrue
Selon l’heure qui témoigne.

Je lis les intentions de la rue.
Vite rentrer à la maison,
Avancer tête basse et fourbu
Et ça et là, quelques éclosions.

La rue a son langage codé.
Selon les lieux et les heures,
Elle dégage son humeur exaltée.
Au lecteur d’en être l’explorateur.