On danse sur un pied et après faut changer et revenir sur le premier pied ainsi de suite et parfois sur les deux pieds en même temps merci et belle journée à vous

Merci à vous qui êtes venus me dire que vous partagez mon point de vue ...

Hélas, nous ne pourrons rien y changer

Amicales pensées

Guy

Bonjour Guy, très beau cri poétique

Amitiés

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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Re Chibani

Très prenante lecture.

Bonjour Guy,

Ainsi est la vie et les "charmes" de l'amitié réelle ou virtuelle qui peut être souvent trompeuse et discorde, cela crée du va et vient, une sacrée folle farandole pour être si bien imagé par tes rimes.

Amitié,
Roman

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Bonsoir Chibani

Percutant poème, presque envie de le chanter. Oui la face cachée de la scène

Amicalement Franie

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Folle est bien le mot pour une farandole qui je confirme donne le tournis.



Michèle

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La vie est belle il faut savoir l'apprécier.

Un superbe poème qui met bien en évidence la vanité et la vacuité des gesticulations humaines !
Le monde est une immense scène sur laquelle nous jouons notre rôle éphémère !

La folle farandole

Ça s’en va et ça revient
On se braque en petits riens…

Et tout ça se fait ici
Tendrement, catimini
Sans préciser au départ
Qu’il y avait un lézard
Où même en des mots choisis
Rien ne dit en poésie
Combien on est éreinté
Par la malhonnêteté
Des magouilles, trahison,
Qui brouillent cet horizon.

Ça s’en va et ça revient
On se braque en petits riens…

Je pourrais en dire plus
Perturber le consensus
Des belles âmes pensantes
Qui s’ébrouent et qui nous mentent
Se disant être une amie
Qui du pain en est la mie
Nous distillant des nouvelles
Qui sont issues de poubelle
Juste pour nous inviter
En procès immérités.

Ça s’en va et ça revient
On se braque en petits riens…

Et voilà quand on revient
Juste reprendre son bien
Lavé de tous ces lazzi
On ne trouve en poésie
Pas grand-chose de changé
Les défauts y sont langés
Les copains et les copines
Ont gardé la bonne mine
Et nos mots, dans tout cela
Ne sont plus que tralala.

Ça s’en va et ça revient
On s’est braqué pour un rien…

Chibani