Bonjour, un univers particulier et magnifiquement écrit sous ta belle plume , c'est fantastique
Mes amitiés
Yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

Un bien triste et sombre constat sur l'impuissance et le désarroi de l être humain
Merci pour cet émouvant partage

Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

Bonsoir Exploratrice

Un écrit dense, impressionnant. Les images puissante. J'aime beaucoup son contenu. J'adhère bien.

sous le soleil ardent de Juillet ,j'ai eu le grand plaisir de me bruler en te lisant

Bonjour Exploratrice,

Des mots extrêmement émouvants et tellement touchants sur tes maux écrits avec beaucoup d'émotions et de sensibilité !

Bon courage et prends bien soin de toi !

Je te souhaite que cette forêt retrouve la lumière au sein d'une clairière t'offrant de la sérénité !



Douce journée chère amie poétesse Exploratrice !
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

mais pourquoi avoir découpé cette belle prose ?

Amical GUY

Une prose superbe et impressionnante !
Quelle belle lecture !

Je me tiens là, écrasée par le poids du ciel que seules les cimes des vieux chênes peuvent supporter.
Tu connais ça, l’impression d’être une valseuse dans une cathédrale de bois, sous ces voûtes
d’écorces sans âge, à croire en l’avenir comme unique prophète ici-bas. Les années semblent ne pas
avoir eu d’emprise sur la forêt, alors que j’entends les rires d’outre-tombe ramper jusqu’à moi,
telles des vermines pestiférées, emportant dans leur souffle le silence paisible des soirs d’été. Ces
lieux sont hantés de mille façons, le passé coule entre les murs comme le sang fuse dans les veines.
Les couloirs hurlent de souvenirs. Les derniers adieux mènent des guerres dans les yeux de ceux qui
restent. J’ai marché sur nos mémoires jusqu’à ce que la forêt tombe des falaises et que nos rires
catacombaux meurent dans la vallée.