Tu aimes les produits qui te dope,
Tu fumes tes deux paquets de clope,
Dommage pour tes artères, tes poumons,
Ils sont chargés et noir de goudron,
Je ne parle pas de ce que tu bois,
J’imagine l’état de ton pauvre foie,
A sortir et rentrer à pas d’heure,
Tu as usé ton corps et ton cœur,
Pourtant on t’avait tous prévenu,
Mais hélas tu ne nous as pas cru.
Aujourd’hui on est tous au cimetière,
Ou l’on va te mettre sous terre.
à Paul