Merci pour ce magnifique portrait de cette belle demoiselle qui est passée comme un joli papillon dans ta vie .
Certaines personnes ont cette "aura" magique , qui fait qu'on les admire et puis elles passent et s'en vont butiner ailleurs mais elles restent à jamais dans nos cœurs !...
Moi je crois aux anges , et aux fées.. j'en ai rencontré ils n'ont pas d'ailes dans le dos pas de baguette magique, mais ils ont un réel pouvoir sur nous et sont capables de changer notre vie
Amitié poétique Bises de Luz
---------------- Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. Le DalaÏ Lama
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran
Contente de te lire, ces images rayonnantes, merveilleuses qui nous laissent ébahie. J'aime tout ce choix de senteur ou saveur que tu utilises, merci Aline
Bonjour Merdesiles, Un touchant partage sur une grande amitié aux couleurs d'un autre temps quand la douceur, l'inconscience et la frivolité étaient les préoccupations de la jeunesse parisienne. Les bals du 14 juillet n'existent plus, la légèreté sur des visages heureux et souriants qui ne pensaient qu'à danser, aimer et vivre n'existent plus non plus. Qu'est devenue cette amie ? La vie est un perpétuel croisement de vie. Merci pour ce partage dans lequel j'ai aperçu des étincelles de feux d'artifice. Belle journée Merdesiles Amitiés poétiques
De paris , elle était la plus belle Dans ses froufrous , ses dentelles Les lèvres roses , sucre candi Le printemps sur ses chapeaux Fleurissait en pétales pastel Oiseaux et papillons s'accrochaient à sa traine Dansaient sous son nez pointu On la désirait à son bras Pour la montrer conquise Les regards fripons en disaient long La demoiselle sentait bon la rose , le lilas Le lait au chocolat , grenadine et sodas Se pavanant légère Insouciance , heureuse Dans des toilettes singulières Se parfumant d'amour , de folie De douceurs que les autres enviaient Ô Maryse si jolie ! Qui t'aurait résister ? Elle était belle la parisienne Un pinson qui la joie rependait Un oiseau qui venait se poser Sur mon cœur chagriné Me parlant de partage , d'amitié Elle était belle Une demoiselle que faisait battre le cœur D'un ange , d'un beau pompier Dans ses grands yeux clairs Dansaient des étoiles Un bal de quatorze juillet De Montmartre à la Tour Montparnasse Les manèges t'emportaient Je ne t'ai vu qu'hésitante Quand sur un Sega je t'entrainais Te disant de poser tes escarpins orange Pour mieux sentir le sol sous tes pieds Elle était belle la demoiselle J'aurais voulu la ressembler Quand gauche et maladroite Je m'habillais de vichy turquoise Et qu'elle riait de ma tenue préférée Elle était douce la demoiselle Quand elle prenait ma main Pour me consoler D'être loin de mon île adorée Jolie si jolie la demoiselle Maryse elle se nommait