Une tres tendre poesie avec tendresse et délicatesse
Mes amitiés
Yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

Merci à toutes et à tous de vos charmants commentaires !

Ne peut guère dire grand-chose de plus, bonne soirée à vous!

Bonsoir Sandre

Situation déchirante que cet amour qui ne l'est pas vraiment. Coeur blessé exprimé avec pudeur et délicatesse.

Amicalement Franie

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un poème touchant, les regrets amoureux existent



yann

j 'ai bien aimé ce joli poème
dont le dernier vers signe
la délicatesse de cette belle plume !
merci à vous
Terry

Un poème tout en douceur et émotion d'un amour déchu. Merci pour ce beau partage

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Calliopé37 (Luciole)

bonsoir

j' ai aimé suivre votre plume...les mots.... encrent la page d'OASIS
tout en exprimant le désarroi d'un coeur ..

bravo



A la voix chantante qui me met en émoi.
Me parlant de l'endroit, de ce jour où sa foi,
Sa perte signa, en désertant sa venelle...

Pour lui, elle n’était qu’un jeu comblant l'absence,


après lecture, je me dis, c est ..bien triste...

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Bonsoir Sandre,

Une belle poésie émouvante qui ne peut que toucher le coeur !



Douce soirée!
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Bonsoir Sandre,

Un poème touchant qui met en émoi le troublant aveu
beau partage bonne soirée amitiés

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J'ai beaucoup aimé ta superbe poésie !
Quelle délicatesse et quel romantisme dans tes vers, c'est merveilleux !

Elle se chauffe au soleil, la douce Isabelle,
Puis s’assoit sur ce banc, tout à côté de moi.
Bercé par sa chaleur, je m’imagine roi,
De la reine déchue, décidément trop belle.

Au corps encor parfait, habillé de dentelle,
A la voix chantante qui me met en émoi.
Me parlant de l'endroit, de ce jour où sa foi,
Sa perte signa, en désertant sa venelle...

Pour lui, elle n’était qu’un jeu comblant l'absence,
Quand il voulait, lui faire don de sa présence,
Le maître inflexible de la grande maison…

Qui reste là seul, qui dans sa poésie pleure,
Sans jamais ne vouloir renier sa raison,
Que j’eusse aimé Monsieur, votre main qui m’effleure…