Mon mari, mon Amour, ma Liberté, Source de ma Vie...
Ma mère m'a mise au monde,
Lui m'a simplement donné la Vie...
Il fut long ce chemin, Nous, venons de loin
L'odeur de cette terre glauque, on s'en souvient...
La perfection bien lucide en ce sens, en cette quête
Je vis bien entendu et il me rappela l'essentiel
Laquelle
Aucune gloire manifeste, il naît et n'est pas ainsi
A mes yeux, un titre ou des titres à lui seul
Docteur, charpentier, cuisinier, ou, ou, ou...
Rien de tout ceci car très très brillant certe
Mais il n'aurait briller qu'à la hauteur d'un maître...
Ni Maître, ni Dieu,  Libre, il m'a offert cette Liberté, un guide
De le voir au delà de tout, me montrant me démontrant,
Et me prouvant ceci, il etait être tout simplement
Sur le chemin de ma vie, il me donna cette grande richesse
Rester à ma place au plus bas, bien bas terre glauque,
Mais faire cet arrêt, il s' est arrêté un jour sur mon chemin
Et il eut main, cette main en son être, il fut le seul...
Il me l'a tendu, où d'autres sont passés sans jamais me voir
Point de perfection me rappelant ainsi ma propre condition
Humilité acceptant cet état de fait, qui suis je, pour en juger...
Etait ce bien ma quête de vie que de rechercher tant de perfection
Juste trouver juste cette petite flamme en moi,
Il fut nous
Elle allait faire la différence notre richesse
Donnés perdants, mendiants, nous n'avions rien
Mais voilà , être lucide, il etait être, il avait eut main
Et c'est alors que cette note malgré tous ses obstacles
Allez nous éclairer en restant ainsi aussi bas, terre glauque.
Avec tous nos défauts des moins que rien,
Mais plus que tout, nous allions faire notre différence
En trouvant ce st graal, la note parfaite notre la, venir
Pour notre deux, venir, prendre conscience
Que malgré envers et contre tous et tout
Écrire notre deux, mains car un jour sur mon chemin
Je le vis, et il me vit et me donna Vie en me donnant Main
Et c'est entre nos mains, en nos deux mains
Que nous avons dépassé nos besoins
Rien ne sert de courir après autant de gloire
De titres pour exister, il suffisait juste un signe
De la main, en nos deux, venir, deux êtres qui eut main....
Il m'avait donné ce jour, Vie, ce souffle, ce bon sang royal
Que je n'avais point volé, jamais bien mal acquis profite guère
Non ce bon sens celui qui va droit au coeur conscience
Un seul coeur pour un seul amour j'étais je suis et je serais
Un être car je pense donc je suis...la source je viens de loin
De très loin en mon évolution et élévation quintessence
Mercure cette force en ce feminin sacrée...
Où, Dieu nous avait oublié....
Moins que Rien mais plus que Tout...
Elle, la Vie aurait pu ne pas me l'offrir
Alors je m'incline et je lui dit Merci à elle, à lui
Simple heureux seront ceux qui seront
Restés simple en cet état d'Esprit...
Tout simplement des êtres humains, le sens de notre devenir...
Porter cette Vérité et la mettre en lumière...
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