Merci pour elle, je l'ai connue !

triste sort mais lorsque l'heure arrive, la barque accoste à la rive
un fort bel hommage

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

vie trop brève pour cette inconnue
qui vous a inspiré dans un aperçu

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Geneviève

Bonsoir Sphyria

Une jeune fille forte qui n'avait peur de rien tout du moins en apparence, la mort la frappée en pleine jeunesse et recluse quelle triste fin...
Poème d'une grande sensibilité, touchant aussi.

Amicalement Franie

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bien triste de mourir si jeune

Merci, merci !

Un beau sonnet chère Sphyria mais dont la chute est bien triste merci du partage chère amie un plaisir de te lire bonne journée doux dimanche

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poème qui nous tient en haleine
malgré cette grande tristesse
qui conduira
cette jeune fille au bord du gouffre
cette fierté qu'elle veut prouver
n(est que sa grande fragilité !
merci à vous
Terry

Bonjour Sphyria, fort émouvant poème

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

00063312-1

Une mort héroïque quand-mm !!!!!!
J'ai pensé à Zora la rousse !
Je t'envoie un bonjour à travers ce vent chaud qui passe chez vous
Tout le monde mourra un jour ou l'autre, ton poème est magnifique

Med

magnifique sonnet sur deux rimes

mais si triste est la fin de cette jeune fille

aux rivages de l'enfance

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

Bonjour Sphyria,

Magnifique sonnet poignant et tellement triste!
Cette jeune fille de vingt ans qui est partie si jeune...



Belle journée!
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

joliment triste elle est morte à 20 ans elle n a vecu que ce que vivent les roses

Aux rivages de l'enfance

Elle était celle qui, dans notre petit groupe,
Menait toujours bataille et gagnait sans effort.
Elle offrait aux regards ses fins cheveux d'étoupe,
Son visage indompté, ses jours sans passeport.

Semblable à l'amiral qui dirige la troupe,
Elle allait courageuse, en regardant la mort
Comme un filet sans maille à bord d'une chaloupe.
Elle prenait le large et méprisait le port.

Je la regardais faire en restant à la poupe,
Elle ne voyait rien qui soit de son ressort,
L'horizon l'attirait, telle une fleur qu'on coupe.

Pauvre âme frémissante, avide d'inconfort,
Qui n'aimait pas son père et détestait la soupe !
Elle est morte à vingt ans, recluse dans un fort.