Allons donc de concert vers l'avenir prometteur...

merci à vous

Nous ramons tous sans cesse...

C'est vrai qu'il ne faut pas , non plus, lâcher la barre!

On peut associer cette expression à tellement d'exemples de notre quotidien .

Mais s'il est question de virus, il faut , c'est certain, combattre ces charlatans
qui avec forces simagrées et quelques potions dites magiques aident le virus à tuer des gens.
Les actualités nous en ont rapporté des cas.

D'autre part, quoique la vie nous donne et nous fait subir, il est certain que nous allons tous dans le même sens.,
même, s'il n'y a , jamais, là, égalité .

Merci Antoine pour ce rondeau qui laisse la bride sur le cou à l'interprétation et à l'imagination.
Amitiés
Nat

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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.

Bonjour Noel-Opan, fort bel écrit poétique et belle remarque

Amitiés

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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J'ai beaucoup aimé ton beau poème métaphorique !

Nous allons tous dans le même sens inutile de chercher le pourquoi inéluctablement nous ramons vers un même destin beau partage belle journée amitiés

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des conditions s'imposent
savoir tenir la rame
savoir ramer
et ne pas dévier de l'objectif

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

belle mise au point, on peut avoir l'impression d'une disharmonie chez les rameurs français, sans parler du virus à priori, merci du partage



yann

oui ramons dans le même sens !! mais lequel est le mieux ??

Bonjour Antoine,

Souhaitons que la population ne rame pas trop et vive en harmonie!
Très belle poésie en partage !



Belle journée!
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Nous ramons tous sans cesse en respirant à peine
Nous disant, sans faiblir, avoir trop peu de veine.
Il en est qui n’ont plus ni muscles ni tonus
Mais qui cherchent pourtant d’obtenir le bonus.
On appelle cela de la hargne soudaine !

Vous qui semez toujours la plus petite graine,
Espérant voir grandir la pousse souterraine,
Dites-vous fermement pour confirmer les us
Nous ramons tous sans cesse.

Regardez devant vous ! Voyez-vous sur la scène
La troupe en plein débat qui soudain vous assène
Un éloge mesuré qui parle d’un virus
Que combattent des gens par de simples rictus.
Mais oui, décidément, plus ou moins d’art obscène
Nous ramons tous sans cesse.