une belle dédicace à son père

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

Bonsoir Padiza,

Des souvenirs très bien décrits en ton bel hommage pour ton père !



Belle soirée!
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Tu peux en faire voyager plus d'un, avec ton petit texte. "Quand on respire à reculons une goulée de souvenance", comme disait l'autre, ça crée des liens, ça fait communion.

Te voila porte parole de quelques générations.

C'est très bien balançé,
Ton style, j'ai adoré,
Ton père, ce héros,
Aimerait ces mots.

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Coucou Padiza.

Des vers majestueux et elegants...........
Delphine

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J'ai aussi beaucoup de souvenirs avec mon père : il m'accompagnait pour mes courses en vélo ..... il était mon "coach" et nous étions sur les routes ensemble..... Tout le reste n'existait pas..... et j'étais le plus heureux des jeunes hommes (18 ans) quand mon père venait m'embrasser à la fin d'une course....

Souvenirs inoubliables.....

Amitiés

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http://www.mespoemes.net/poete47/
"Aimer ce n'est pas se regarder l'un l'autre mais c'est regarder ENSEMBLE dans la même direction" Saint Exupéry"

J'ai adoré ces stances pour ton Père qui m'ont rappelée tant de souvenirs !!

bravo et merci

bisous

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http://www.mespoemes.net/eolienne/

https://www.amazon.fr/Souffle-poétique-Adeline-alias-Éolienne/dp/2414163232

https://www.edilivre.com/sur-les-ailes-d-eole-adeline-mela-eolienne.html

Sur les bancs de la Communale
Il se faisait traiter d’ « rital »
Chantait « Maréchal nous voilà »
La France était en sale état !
Echappa à la Gestapo
Grâce aux voisins, sauva sa peau :
Son père débarquant d’Italie
Avait préféré le maquis.

Il chopa une pneumonie
Qui faillit lui coûter la vie.
Trois ans de guerre d’Algérie
Et bien sûr l’adhésion au Parti.
Il rencontra « cette année-là »
Sur un air de jerk ou de java
La Martine Carol locale,
Qu’il épousa, erreur fatale !
C’était une belle brune aux yeux bleus
Qui le rendit très malheureux.

Sur son vieux Pathé Marconi,
On écoutait West Side Story ;
Ma mère s’était déjà barrée,
Nous laissant bien désemparés.
Il m’emm’nait à Palavas-Les-Flots
Et m’y offrait des Eskimos ;
On rentrait pas trop tard le soir
Sur un chouett’ Vélosolex noir.
Il sifflotait Trénet, Bécaud Michel Delpech et Adamo.

Au printemps de Soixante huit
Il s’offrit sa première Dauphine ;
Je posais ma tête sur sa poitrine
On se filmait en Super Huit .
Il fut le héros de mon enfance
Je lui dédie ces quelques stances.