Bonsoir Thomas,



Belle soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Merci beaucoup, eolienne et ZAGHBENIFE, pour votre lecture qui m'encourage à poursuivre ce partage de citations personnelles.

certains voient les autres tels des animaux moins que leurs chiens

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

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http://www.mespoemes.net/eolienne/

https://www.amazon.fr/Souffle-poétique-Adeline-alias-Éolienne/dp/2414163232

https://www.edilivre.com/sur-les-ailes-d-eole-adeline-mela-eolienne.html

La méchanceté, cette main crispée qui devrait être ouverte.

Tous les poètes ont une plume mais rares sont ceux qui ont des ailes. La plume ne fait pas l'aigle.

Certains parlent en crabe comme d'autres marchent en crabe.

Curieusement, langue de vipère et cervelle d'oiseau vont souvent de pair.

J'apprécie le style néoclassique pour son "naturel" (relatif). Il permet de lire à voix haute les poèmes écrits dans ce style d'une façon qui se rapproche de la diction moderne, habituelle. Chacun ses goûts, naturellement. La maison "Poésie" est vaste et tout le monde y a sa place.

On peut être petit de bien des façons.

La destinée humaine, parfois pure tragédie, ne peut être adoucie que par la voix d'un ami ou celle de la sagesse.

Fantasme, illusion, rêverie... Les mots ne manquent pas pour décrire le manque.

Comme le Tour de France, la vie a sa voiture-balai, la mort.

La vie s'arrange toujours pour triompher de la mort. Regardez le masochiste, il parvient, chose paradoxale, à jouir des souffrances infligées.

On voit que c'est l'hiver : l'aurore a mis son écharpe rose.

Légèreté du divin, pesanteur de l'humain ou la croix de l'incarnation.

La timidité est une maladie qui ne se soigne que par le remède Audace et le médicament Courage, sans oublier la potion Confiance.

Certains méprisent comme ils respirent.

La méchanceté est partout, il faut la combattre.

Notre société doit être tombée sur la tête : elle traite les animaux comme des êtres humains et considère les êtres humains comme des animaux.

Par sa concentration des effets, le sonnet est l'intensité même.

L'humanité de certains est sélective : ils aiment les uns, méprisent les autres. Ils font penser à ceux qui adorent leur petit chien mais ignorent totalement le malheureux qui meurt de misère dans leur rue.