tristesse et besoin de tendresse
bonne année 2020 sylvianni

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

J'aime bien...

C'est tendre, sincère, ça part du cœur avec un espoir un peu désespéré mais toujours présent...

Il y a des visages, des gestes, des voix, que l'on aimeraient parfois, plus présentes, plus réelles, mais, la vie, elle, n'est pas ce long fleuve tranquille, plutôt, parfois, un torrent, qui charrie un peu de tout, bon ou mauvais, parfois un ru, paisible, mais qui n'apporte rien...

Il est bien difficile d'obtenir ce que l'on désir, même en espérant... quoique...

Amitiés...

Hubix.

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bonjour à toutes et tous, je viens découvrir ce nouveau site, pour moi, en espérant pouvoir partager la passion de la poésie avec chacun(e) d'entre vous... Merci d'avance...

Merci Sybilla, Islander Evilfrank Felinelove de vos commentaires sur cette poésie d'absence

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sylvianni

Bonsoir, émouvant récit poétique

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

00063312-1

un manque que l'on ressent bien au travers de tes mots

émouvant poème, construit sur des regrets




yann

Bonsoir Sylvianni,

Un manque d'affection subi par sa fille si bien décrit en ta très belle poésie !
J'ai aimé te lire !



Belle soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

La prochaine fois tu seras là
Ça fait la centième fois, je crois,
Que tu me fait cette promesse-là
Je n’y crois plus vraiment tu sais

J’avais mis tant d’efforts
Pour te montrer qui je suis
Moi, ta fille, t’en souviens-tu?
Celle avec qui t’as joué

Au fantôme, à la course
Aux regards, aux rendez-vous
Sur lesquels tu n’apparaissais
Qu’entre deux averses d’enfant

À chaque coup de crayon
À chaque pas de danse
J’espérais voir tes mains
S’approcher pour applaudir

Dans un couloir, de longues années
J’ai attendu l’ombre de ta voix
Le son de tes souliers glissants
Vers mon envie d’exister

Mais voilà, je ne t’ai jamais vu
La prochaine fois peut-être
Me diras-tu, je serai là
Mais je n’y crois plus vraiment, tu sais

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sylvianni