Délivrés à chut . . . vous êtes trop curieux sourire.
Délivrés . . .
Entre ses murs d'errance à l'abri dans son monde
Dans sa bulle prison, sa souffrance l'inonde.
Solitaire, elle vit, loin de tout, loin du bruit
Et rêve d’une clef dans sa profonde nuit.
Elle l'a recherchée en quête d'une trace
Une empreinte oubliée et son ombre s'efface
Scintille dans son coeur l'éclat de sa lueur
Vers des rayons d'espoir dessinant le bonheur.
Il emplit le silence, éveille la magie
Où s'abîme son cri teinté de nostalgie
Vers des notes d’amour tel un reflet qui luit
Et s'éclaire un loup noir aux vides de l’ennui.
Il a charmé ses jours pour allumer sa vie
Quand chante l’étincelle en son âme ravie.
Une oasis est née au fond de son désert
Où plonge son âme dans les bras de la mer.
Murmure l'océan aux sons imperceptibles
Quand résonnent ses flots aux échos inaudibles.
En vagues d’horizon, j’aperçois le ciel bleu
Envolés leurs bagnes vers un monde radieux
Pascal.