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     Nos particules voltigeront à la fin du parcours
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Expéditeur Conversation
anonyme
Envoyé le :  27/9/2019 17:02
Re: Nos particules voltigeront à la fin du parcours
joli partage touchant
poetal
Envoyé le :  27/9/2019 8:49
Plume de platine
Inscrit le: 20/10/2015
De: île de France
Envois: 9854
Re: Nos particules voltigeront à la fin du parcours
un texte original sur les particules


----------------
domi.gondrand@laposte.net

Sympatique
Envoyé le :  27/9/2019 7:49
Plume de diamant
Inscrit le: 4/5/2014
De: Ailleurs ....
Envois: 14885
Re: Nos particules voltigeront à la fin du parcours
Nos particules voltigeront à la fin du parcours

Sybilla
Envoyé le :  26/9/2019 22:56
Modératrice
Inscrit le: 27/5/2014
De:
Envois: 95621
Re: Nos particules voltigeront à la fin du parcours

Bonsoir Richards,

Très touchante poésie !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla


----------------
Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Richards
Envoyé le :  26/9/2019 22:49
Plume de platine
Inscrit le: 23/5/2011
De:
Envois: 5513
Nos particules voltigeront à la fin du parcours
Nos particules voltigeront à la fin du parcours
Faisant du corps au milieu privilégié

Toutes aussi nobles qu’humbles
Elles errent dévolues à l’océan du néant

L’inquiétude surnage l’enveloppe corporelle
Et la mémoire se perd dans les volutes des réminiscences

Au fond des gorges des molaires blanchis
A la salive abondante et décapante
Les dents exaspèrent la langue muqueuse

Surprise de la menace de la peur criante
Et les mouvements s’enlacent autour de la nasse
Et le liquide jaune pourlèche sa tache

Tout suinte et tout fuit, haleine et pénis
Notre trace se perd dans un relief effacé
Un horizon d’espoir dépasse les mains négatives

La déliquescence est une ouvre bien étrange
Qui ne dit pas son nom
Resté innommé elle engage tout le corps, des pied jusqu’à la forge

Las laissons faire sa lancée
Nous n’y pouvons rien
Un nom s’échappe vieillesse

Voilà énoncé le refrain de notre chair mortelle`
C’est l’amorce arythmique et dissonante
Plus dégradé que la conscience
Le tremplin peut-être d’une métamorphose //
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