À sylvianni, arcenciel, NoireLune, islander, felinelove, franie, cyrael, EvilFranck,, vauv, Sybilla:

Les temps ont changé depuis fort heureusement et les femmes qui, de nos jours, élèvent seules un ou plusieurs enfants ont autant de mérite. Dieu merci, la société est plus tolérante et l'évolution s'est faite plutôt dans le bon sens. Et puis comme le chantait Renaud en son temps: Moi, c'qui me désole,c'est qu-je serai jamais en cloque.

Amitiés.

Bonsoir Peyrepertuse,

Cela arrive encore de nos jours mais ce doit être moins difficile à gérer qu'à une certaine époque !
Très belle poésie émouvante !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Un poème émouvant, tout en retenue, sur les souffrances morales infligées par la société. Mélancolique plume qui n'oublie pas et vit avec.

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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

Bonjour Peyrepertuse, triste récit poétique, cela arrive encore

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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Bonjour Peyrepertuse

Aujourd'hui l'on dit mère célibataire c'est moins péjoratif et plus courant aussi. Autrefois avoir un enfant sans être marié c'était la honte, le déshonneur, ces femmes étaient montrées du doigt et subissaient injures et mépris. Long et douleur chemin pour ces femmes.

Très beau et profond poème en sa description qui touche.

Amicalement Franie

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un parcours pas facile

un parcours difficile parfois, votre poème leur parle doucement et presque "amoureusement", superbe lecture



yann

cher ami poete ,ton sujet est tellement brûlant qu'il ressemble à la chaleur d' aujourd’hui ,j'étais l'etre à cacher,fille déshonorée,,, :

Le poids d'être mère trop tôt, les responsabilités, le jugement d'autrui, une jeunesse perdue qui ne se retrouve plus. Belle poésie de filles mères qui se sentent désemparées par la situation

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sylvianni

Je maudissais les jours
Vécus sous la malchance
M’écrasant pour toujours
Seule devant un gouffre immense
Victime de l’amour
De sa chanson amère
L’âme et puis le cœur lourds
Quand j’étais fille-mère

Je sentais la rancœur
Parfois même la haine
Cette indicible peur
S’ajoutant à mes peines
J’avais pêché un soir
Par un mal éphémère
Pour une vie en noir
Quand j’étais fille-mère

J’étais l’être à cacher
Tout empli de sa honte
Fille déshonorée
Que tout le monde affronte
Je devais tout payer
Pour plaire à la commère
À la société
Quand j’étais fille-mère

Mais du temps est passé
L’enfant n’est plus enfant
Lui qui s’est envolé
Depuis déjà longtemps
J’ai pu recommencer
Une vie douce-amère
Loin du temps oublié
Quand j’étais fille-mère