Merci chers amis pour vos témoignages de fraternité qui nous est en partage, que chaque jour fait vivre, et le bonheur nous distribue.



Je souhaite la bonne année à vous tous, 2019 commence et déjà deux semaines sont écoulées...



Et je remercie Pampille tout particulièrement de m'avoir fait remonter pour ces deux poèmes, c'est très gentil !

Voilà des rimes qui ne peuvent que fraterniser avec les poètes que nous sommes, et un hommage à la femme qui n'est pas pour me déplaire
Des alexandrins à lire sans modération
Amitiés
Pampille

----------------
Quand le poème a des beautés, quelques taches ne me choquent pas

Une belle pensée philosophique que tu nous écrit avec grand talent.
Bravo et merci.
Mon amitié.

Capricorne

elle est si souvent absente
de nos jours
on a envie de pleurer

merci pour votre partage

Bonjour Jacou,

Magnifique poésie en partage !
Souhaitons la fraternité entre tous les humains !



Belle journée !
Toutes mes amitiés
Sybilla

----------------
Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

désolant de voir que cette fraternité
se perd, les valeurs ne sont plus d actualité
mais ce poème exprime bien notre pensée

je vous remercie pour ce moment partagé
et vous souhaite une très HEUREUSE, et Poétique Année 2019

----------------
l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

Bonjour Jacou

la fraternité humaine est une belle chose mais hélas beaucoup trop rare de nos jours

Amitiés

Christian

Un sentiment...une valeur qui permettent...
Un fort beau poème...


Très amicalement...NL...

----------------
La Poésie ça sert à faire du bien...
ça dénoue le négatif...
et ça devrait être remboursé par la sécurité sociale...

Les prairies de l’hiver n’escomptant que la neige
Font présent de blancheur aux enfants des manèges
Des boules de soie pure étrennent les mains pleines
Et le froid est chaleur au frais de leur haleine.

S’étend sur la contrée cette brume hivernale
Contre quoi le soleil paresseux et hiémal
N’a de juste envie de prendre son bel essor
Poudroyant de rayons, Nature jette un sort.

Où crie un enfant né, dort le monde tranquille
Aucun homme assuré de vivre n’est une île
Il grandit partageant de l’hiver les gerçures
Car l’amour aux lèvres crée plus d’une morsure.

Les anciens s’associent longtemps à l’amitié
La génération tisse un lien, fraternité
Où la femme a le rôle épuisant, éternel
D’être aimée, laborieuse, et veuve, maternelle…