Ô rose
Dans les allées d’une riche roseraie
Les oiseaux sifflotent les beautés
Le vent peaufine les fleurissements
Du nouvel ordre des positionnements
Quand de nouvelles teintes pures éclosent
Dans les laies, priant fidèle en osmose
Avec la rose pourpre qui s’ouvre joueuse
Pour luire attachante à cet illustre sérénité
Echo d’un partage gracieux à la ritournelle
O rose! Sois l’idylle de mes yeux carpelle !
Et la rose blanche soudain déchiquetée
Par la giboulée d’un mois calamiteux
Ne sera plus la plus belle de mes belles
Elle joue, pleure la controverse à son label
Blanche tu t’effaces, pourpre tu fuis le rose
Et l’allée tendre voudrait cacher sa névrose
Maladif embarras; ne plus exposer ses roses.
Æ’C
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j'irai par vos hameaux cueillir vos mots pour vous les offrir bouquets versifiés toujours plus beaux