Bonsoir Jean-Noël, magnifique poème, des images en clair-obscur joliment dessiné

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

00063312-1

merci Jean-Noël pour cette superbe et douce poésie
bonne journée
Denise

Sensuel et divinement poétique Merci j'ai adoré

Amitié
Bises de Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

Bonsoir Jean-Noêl,

Quel magnifique tableau poétique !
J'aime beaucoup !



Belle nuit !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Merci de s'être prété à ces divagations champêtre :
Capricorne, Islander et Provencao
de retour très vite pour de nouvelles aventures
amicalement, jean noël

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Bonjour Jean-Noël, une belle évasion que l'esprit accomplit en compagnie de l'âme du poète.
Un néant qui écarte tout anéantissement.
J'ai aimé suivre ta plume sur ce thème intéressant.

Mon amitié.
Capricorne

les images sont superbes, à floraison, et audacieuses, cette lecture m'a régalé


yann

"Etourdis de désir, coquelicots nus,
Soie des seins d’une douce savane,
La mélopée trouble un air convenu,
Froisse en lumière son goût havane."

Sublime poésie en ces quatrains subtils et délicieux où a
l’évidence, le désir ne nous porte pas vers l’au-delà. Il semble au contraire nous attacher indéniablement à l’ici-bas. Vers délicieux, pleins de ces doux arômes qui stimulent le désir en des beautés splendides de ces coquelicots pouvant éveiller en nous de volcaniques ardeurs, immensité et richesse d’un monde pullulant d’attraits, de charmes, de raisons de vivre ...

Merci Jean -Noël de nous froisser en lumière

Champêtre et le néant.
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Eclair de coquelicots nus,
Mélopée sciante, en savane,
Pourpre de soie convenue,
Froisse une lumière havane.

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Pavots de l’âme,
Frondaisons libertines,
L’herbe ploie sous la flamme,
La belladone s’évapore, mutine.

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En turpitude, cheveux en arrière,
La fièvre danse sa pavane,
Souvenirs en cadence aventurière,
Souffle au ventre séduisant la caravane.

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Se lovent les heures serpentines,
Mirifiques parures à la nuit,
Paroxysme d’une meute clandestine,
Néant volubile passant minuit.

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Etourdis de désir, coquelicots nus,
Soie des seins d’une douce savane,
La mélopée trouble un air convenu,
Froisse en lumière son goût havane.

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