Premier baiser qui reste indélébile...

Claude

Rivière où courent des souvenirs toujours frais...

Amitiés,

Line

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Se soucier de l'orthographe, petite chose futile, c'est faire acte de résistance.

Merci Christiane de si bien raconter tes tendres et joyeux souvenirs d'enfance, qui sont aussi ceux de beaucoup, dans cette magnifique poésie.
Bisous
Bruno

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J'aime la poésie qui me parle et qui chante

Lire plusieurs de mes livres : récits, roman, polar, essai, poèmes :
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C'est superbe... l'enfance comme on s'en souvient... j adore..

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dans l'eau est ma force
dans l'air est ma substance
dans la terre est ma vie
dans le feu est mon energie
vous etes mon 5 eme element

.... Superbe texte aux couleurs de l'enfance heureuse... Quel talent !!! Merci pour ce partage délicat et tendre...

Amitiés

Jacques

Une tendre nostalgie savamment habillé d'un beau sonnet et d'une jolie écriture.
Bref,le tout est beau!
Driss

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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!

Driss

L'été et ses joies .Poème douceur qui rafraîchit le cœur.
Merci, plaisir de lire.

Un bien joli poème !

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Belle vision de ces jeux d'innnocence courants dans la nature. Fraicheur, douceur et souvenirs se ramassent à la pelle.
Joli !

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Voici mon recueil de poésie 2017.

Une magnifique lecture et quelle belle nostalgie
bravo
mes amitiés
Yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

souvenirs tendres
premier baiser

un sonnet de toute beauté

Sous l'ombrelle à l'abri , nos rêves s'enfuyaient
Un air s'y promenait de paisible langueur,
La brûlure infinie d'un tout premier baiser.


j'aime

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

L'été et ses premiers émois..................

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Un été, des sandales, une très belle image d'illustration et , pour couronner le tout, une superbe police d'écriture avec un côté un peu rétro, tu nous gâtes trop, je crois.

Amitiés, pampille.

Bonjour Pampille, je crois qu'on a tous une rivière impavide qui coule calmement au fond du cœur.
J'ai beaucoup aimé suivre ta jolie plume sur le traces laissées par tes sandales.
Merci pour ce nouveau plaisir.
Mes bisous.

Capricorne

Bonsoir Pampille,

Quel magnifique sonnet !



Belle soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Bonjour pampille, magnifique partage poétique de souvenirs en ce sonnet

Amitiés

Douce fraîcheur sur l'herbe grasse surtout en sandale superbe lecture sourire et

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Mes amitiés.

(©)

https://www.artmajeur.com/fr/art-gallery/portfolio/jouennedaniel



https://www.youtube.com/watch?v=OBfdzOVUkuU&feature=share

Un chemin de la vie en rencontre un autre (Daniel) Ciel.

L'Art premier n'est-il pas d'aim...

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domi.gondrand@laposte.net

merveilleux quatrains tercets

vive le bel été !!

bravo

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

merci Pampille pour ce magnifique poème
bonne journée
Denise

je dis comme eux.. c'est un délice ce texte...

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C'est toujours celui qui n'a plus rien qui est prêt à tout donner... à méditer.

Que c'est beau ! Merci chère Christiane pour ce magnifique et si rafraîchissant voyage au temps de l'innocence

Amitié
Bises de LUz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

magnifique lecture, toute en fraîcheur, en harmonie et musique, mais où avez vous été cherche cette police, merci de ce régal



yann

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C'était une rivière impavide d'été,
Où l'on pouvait guérir les bleus d'adolescence.
Sautant sur les rochers dans nos jupons froissés,
Glissaient nos jeux amis turbulents d' innocence.

Douce était l'herbe fraîche étrangère aux sandales,
Sous le saule chagrin tout couvert de ramures,
Les branches se couchaient frôlant l'onde fluviale,
Quand d'ampleur sa tournure abondait de verdure.

Si la brise soufflait, se noyaient des brindilles,
Et comme satisfait, le vieil arbre pleureur
Nous rendait invisibles, à nos chagrins de filles.

Sous l'ombrelle à l'abri , nos rêves s'enfuyaient
Un air s'y promenait de paisible langueur,
La brûlure infinie d'un tout premier baiser.

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Quand le poème a des beautés, quelques taches ne me choquent pas