interprétation d'une virtuosité prodigieuse, mais la rapidité du tempo fait perdre, mais ce n'est qu'un avis personnel, une partie de la magie de composition de Mozart car un certain nombre de nuances doivent être quelque peu sacrifiées à la vitesse. On retrouve la même philosophie dans l'enregistrement de Maria Yudina de 1948 ou même un peu chez Clara Haskil. Cela donne une vue assez inattendue de ce concerto de Mozart.
Mon goût personnel me fait pencher plus pour les interprétations de Lupu, Gulda, Uchida, Solomon, Kraus.
Mais on a là deux écoles radicalement différentes pour l'interprétation de concerto. C'est à la sensibilité de chacun de choisir celle qui lui parle le plus.
En revanche, j'ai commencé à explorer Avec le nom d'Artur Schnabel, car la facilité insolente de ce pianiste et sa sensibilité m'ont interpelé. redécouvert avec un immense plaisir des pièces de Schubert, Beethoven, Brahms et aussi Mozart. C'était indiscutablement un immense pianiste.
merci de nous avoir offert cette occasion de le découvrir.
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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)
