On s’accoutume trop vite au bonheur Pensant que de l’avoir est acquis On ne supporte pas quand frappe le malheur Coupable sont les autres qu’on maudit …
Vous n’avez su m’aimer, dois-je vous en vouloir Dans le hall des arts tristes nos tableaux se font face J’espère qu’un acheteur aura le pouvoir De vous offrir au cœur, une grande place …
Nous ne connaitrons pas, des ivresses la fin, Notre histoire immobile suspendue en plein vol Gardera sa passion ignorant les chagrins , Oui j'ai su vous aimer le temps de notre envol.