Un beau poème, fort et émouvant, qui met en lumière les maux de notre temps !

Céline

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Le retour au moyen âge ... Mais des armes différentes . les plus mortelles sont l'indice d'écoute le bourrage de crâne et l'argent facile . canaille

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Ecouter le silence, c'est preter une oreille attentive a ceux qui n'osent pas parler. canaille

une poésie très profonde et poignante



bravo


amitiés

MG

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"il est conseillé de toujours répondre aux imbéciles par le silence"!

L'écran saignant fait saigner notre coeur.
Les images de violence sont banalisées à outrance
C'est la triste réalité qui fait vendre.
Merci pour cet écrit saignant de sincérité

Mes amitiés
Z

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Écrire c'est se découvrir sans avoir froid

Merci à tous d'avoir partagé ce profond malaise devant l'écran qui se noircit de jour en jour.
La folie de l'humanité devient un mal incurable.
Belle fin de journée à vous tous.
Rolland

N'ayant pas la Télé j'évite les horreurs mais n'en pense pas moins sur la misère du monde...

Amicalement... NL***

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La Poésie ça sert à faire du bien...
ça dénoue le négatif...
et ça devrait être remboursé par la sécurité sociale...

c'est l'écran qui saigne ..
quand on se contente de regarder.. sans le petit doigt bouger...

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Un sombre et réaliste portrait de notre monde fait de violence . Merci pour cet émouvant partage

Amitié poétique
Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

Bonsoir ROLLANDPOEME,

Un magnifique cri du coeur que j'ai aimé lire !



Belle soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Grande tristesse mais si vraie
quand l'homme comprendra que les uns sans les autres nous n'avanceront pas au lieu de se chercher guerre et plaies mondiales
bravo
mes amitiés
Yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

superbement réaliste Rolland...
un cri à l'encré du cœur!
merci du partage
des bises

une triste réalité finement poétisé ...
bien amicalement

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

.

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

BOnjour RollandPoeme, un cri de révolte et d'impuissance.
Hélas je crois que nous devrons nous habituer de cet état pendand longtemps encore.
Mon amitié.

Capricorne

la vie n'est plus ce qu'elle était, triste vérité
merci Rolland pour ce superbe et touchant poème
bonne journée
Denise

A tous ces maux qui nous brisent le coeur
Que peut-on donner pour les adoucir
Juste un regard dans un peu de chaleur
Avant qu'il succombent dans leur délire...

Rolland

Amitiés. Guy

Je lis ton écrit avec beaucoup d'émotion, tout comme toi, je suis triste et j'ai peur de lire et d'écouter les journaux, nous sommes impuissants devant ces personnes qui veulent semer la panique dans notre pays!

Merci Rolland de ce magnifique partage, bravo
Douce journée
Amitiés
Isabelle :-)

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Une petite pensée c'est comme le parfum d'une fleur _ elle apporte un peu de bonheur!
Merci de votre visite _ Isabelle
http://lapassiondesmotsd-isabelle.over-blog.com/

Dégoût d’un soir quand le moral perd ses repères,
Tant de boues nauséabondes inondent l’écran ;
Sur terre dans chaque seconde explose un cratère ;
Tant d’images d’hécatombes, d’hommes, d’enfants en sang.

L’écran saignant est-il le miroir de ce monde ?
Vois ! Se pâment les bourreaux à visage découvert ;
Tuent la colombe sur leur échafaud immonde.
Dégoût d’un homme à leurs messages sanguinaires.

Les tyrans se croient icônes et prônent le pire ;
Tremblent d’effroi même les blondes poupées russes ;
De leurs catacombes les fantômes n’osent plus sortir ;
Le sourire de la Joconde est un infâme rictus.

Dégoût profond pour ce rectangle de vingt pouces.
Un fou, un voyou sans tabou ni garde-fou,
Qui plombe l’espèce humaine, qui éclabousse,
Même outre-tombe les morts de cette sale boue.

J’aimais voir sur l’écran les paisibles indiens,
Les prairies de daims sans la crainte du chasseur,
Avant qu’on déverse des torrents de boues sans fin,
Et que les hommes, deviennent des monstres sans cœur.