un petit souvenir qui m'est revenu en mémoire, et que j'ai voulu offrir en souvenir
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celui qui a affronté une épeuve apprend des choses
et de lui on peut apprendre ce que la vie peut faire
une sorte de leçon
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Aujourd’hui je me suis rappelé, un jour que je marchais dans une allée dans un petit beau jardin, d’une petite ville ou je me suis rendu pour régler quelques problèmes familiaux, je me suis assis sur un banc pour me reposer, j’entendis une voix derrière moi qui chantonnait doucement, je me suis retourné enjoué par la voix, l’air, et la poésie, c’était un homme entre deux âges, assis par terre sous un arbre, ses cheveux étaient ébouriffés, une barbe emprisonnait ses joues, ses vêtements étaient sales, je compris que j’avais affaire à un malade,
Je dis malade car le prophète Mohamed avait dit, ‘’ne dites pas des fous, autre chose, qu’ils sont malades ‘’.
Alors j’ai dressé mes oreilles pour écouter cette fabuleuse voix et la beauté de la poésie, j’avais décidé de la transcrire en français, j’ai cherché et j’ai trouvé le bout de journal ou j’avais écrit ce que j’avais entendu, voilà je l’ai traduit et j’en ai fait un poème et je l’offre à la lecture.
J’ai applaudi des deux mains, il a levé ses yeux vers moi et il m’a souri, j’ai lancé dans sa direction, cela aurait été mieux avec de la musique, les notes auraient dansé dans l’air au son de votre voix.
Il a mis sa main dans sa poche, il a tiré un flute, et j’ai assisté à deux sons malheureux qui pleuraient je ne sais du temps ou sur le temps, sa belle voix et la flute, une larme glissa de mes yeux, je ne pus la retenir car elle a échappé au ressenti de mon cœur.
Je ne pus me retenir, j’eus peur que de tristesse mon cœur me joua un tour, je partis le laissant à sa tristesse.
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