L’alexandrin,
L’Ange lancinant s’installe aux creux de nos grises Nuits
Parcourant sans retenu la Solitude des CÅ“urs,
Aux rêves émancipés pleurant les tristes hivers de pluies
Délaissant toutes les intempéries de nos malheurs.
La pénombre de la journée parvient
Aux terminaisons d’un Temps infini, qui à jamais,
Court à la recherche de la Vie embarrassante,
A la fois si belle dans ses promesses tant espérées.
L’alexandrin de nos Sentiments portés jusqu’aux feux
Résiste aux souffles du Vent amer de toutes les vies,
Aliénant les envies noires tourmentées des Nuits à deux.
Il possèdera tous les espoirs de nos remords meurtris…
Basile Béranger Chaleil
Le 8 Mars 2017
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Basile Béranger Chaleil