Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: Envois: 230 |
"La chaîne briséé" Moi, qui n’ai servit que de cheminée, Ou brûler vos gueules de bois, et ses écorces de noir, Pour les faires partir en fumée, Avec les braise dans vos yeux alimentés par le charbon du désespoir
Moi, qui n’est servit que de gouttières pour ados Servant à écouler dans les égouts de leurs mémoires ses torrents de larmes, Qui noyaient leur charpente d’os, Avant qu’elle ne les ai rouillé dans un silence -vacarme
Moi, qui n’est servit que boite aux lettres, Assurant la correspondance de vos enveloppes charnelles et de vos timbres de voies, Ou Cacher vos factures sociales, vos lettres corbeaux et vos dettes Qui aurait pu abrégé le livre de votre vie en un télégramme bien plus étroit.
Moi qui n’est servis que de caniveau, Pour ces gouttières humaines Quand elles écoulaient le flux migratoire de leurs peines, tel un ruisseau de maux Dans les égouts du chagrins, de leur âme porcelaine
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Moi, qui n’est servit que de réverbère, Pour éradiquer l’ombre de la mort, resplendissante de jour en jour Dans ses ruelles de colère, Ou était couché dévêtu, vos cœurs mendiant d’amour
Moi, qui n’est servit que de torche humaine, Quand leur souffrance me paraissait mon propre bûcher Quand j’absorbé cette essence de la haine, À leur place qu’on ne cesser de leur aspergé
Moi, qui n’est servit que de bougie, Pour créer cette étincelle de génie, Quand le moteur de leur matière grise était noyé Tel un réacteur collé à leur fusée hierachique, désormais prêt à décoller Même sous la pesanteur des problèmes ou Sous une ère suffocante Jusqu’au zénith des opportunités professionnelles parfois nous hante Même si elles passent souvent sur l’azur de nos rêves comme des étoiles filantes
Moi, et mes jambes si fines qui n’ont servit que d’allumettes, Pour gratter d’autre macadam Créant cette étincelle d’amitié naissante Prêt à gratter le sol jusque le cœur de vos dames Pour le ravivement de leur flamme quand elles étaient mourantes ,
Mais l’orage s’est disperse, Sonnant le glas d’un jour nouveau, Plus besoin de paratonnerre, L’ombre luminescente de la mort s’est éradiquée, Je ne suis plus qu’un parasol, trop imperméable À cette pluie de soleil qui s’abat sur vos êtres, de manière agréable
Alors ils ont changé de trottoir, J’entends le rires de leur cœurs riches habillé dune fourrure d’amour,d’une couette sentimentale Ricocher ses échos le long des couloirs, Je ne suis qu’un paratonnerre qui ne doit pas empêcher Cette étincelle -éclairs que je vois jaillissante Quand ils grattent leurs jambes- allumettes, Sur d’autres chemins croisé ou d’autre macadam générateur, d’amitié naissante
Eux qui ont balayé dans leur mémoire caniveaux, Sous l’écoulement torrentiel du temps, Ses tiges rouillé de paratonnerres Ses éclats de vers de lampadaires Ses branches rouillé de parapluie, Ses planches rongé par les termites du temps De ce sommier mental, exploser Qui n’à pas supporter le matelas phycologique ou ronfler des rancoeurs Eux qui ont balayé dans leur mémoire caniveaux, Ces jambes allumettes Noyant dans le torrent de l’indifférence Tel un paratonnerre, un parapluie Cette étincelle de l’amitié naissante Laissant s’endormir, tel un sommier, sur le matelas des peine Cette étincelle de l’amitié mourante Aucun ramoneur, aucun facteur, Une amitié dont les timbres et les voies Aux creux encrassé des cœurs- cheminées sont partie en fumée Moi qui ne suis servis que de grenier Ou mettre les cartons qui renfermaient leurs mauvais souvenirs, Les cartons que de ma langue cutter, encore aujourd’hui se déchire Pour en retirer l’âme porcelaine, les torches humaines, les cierges en cire, La fragilité, les âmes damnées, les espoirs parfois qui fondent trop vite, c’est net Pour en retirer les assiettes fiscales de toutes vos dettes, Empilés les unes aux autres comme les maillons collé de votre mal être Que je brisé quand elle vous faisait trop boire la tasse des soucis en tête Que je refermé du scotch de ma salive vanillé Une fois ces bols d’oxygène bien empilés
Moi, qui n’est servit que de salle de jeu, Pour rangé ces damiers humains, Où coulissaient ses jours pleins d’avenirs, ces jours sans lendemains, Pour rangé ces jeu du pendu, cette corde raide noué par les enfants assassins Cette corde raide fruit de l’entrelacement de leur peines et chagrins Pour rangé ces conversations interminables transformé en ces pings- pongs verbales, Pour défaire L’effet domino de Vos jeu d’échecs sentimentales Pour freiner cette mémoire -tourniquet, Ou défilaient, re-défilaient les uns après les autres ces souvenirs et regrets Pour arrêter la balançoire des indécisions, des sentiments partagés
Moi, qui n’est servit que de Rez de chaussé, Pour posé leur tapis rouges, Ou nous s’essuyons, frottions les crampons finissant par s’usé D’une amitié en caoutchoucs encrassé Qui a finit par le tacher, D’une amitié en caoutchoucs Si flexible qu’elle a finit par les déchirés
Moi, qui n’est servit que de puit de science, N’hésitant pas à faire tourner la poulie de mon savoir, Quand la nappe phréatique déchirée du sol de vos connaissance Fermentait par les enzyme du non savoir, ce remplissage de vide dans leurs devoirs La brocante de l’amitié est annoncée, Tout a été mis en vente, Les cheminée encrassée, les réverbères grillés, Les soutiens financiers –parapentes, Quand ils étaient prêts à foncer tête baissée dans n’importe quels projets Du sommet de leur aspiration dans le vide de l’ignorance Les paratonnerres foudroyés d’indifférence partagés, Les parapluies troué par la pluie des regrets Les boite aux lettres bloquées, par la rouille de ce dialogue de sourds instauré Et même les ailes des joies hirondelles mazouter par cet océan pollué de délaissement On ne m’a laissé que sur la girouette qu’étaient mes sentiments Pour s’en débarrasser, Les protége tibia déchiquetés, et qui se sont détachés À force de courir vers d’autres horizon d’amitié, Les torches humaines dont la cire des souvenirs amicaux des a trop rapidement coulé Le scotche de ma salive ma langue cutter, Ces damiers humains, qui n’ont plus besoin que j’efface le noir mortuaire Ses pings –pongs verbale qui ne connaissent plus le revers de l’amitié Les pelleteuses qui gardent encore en leur creux les débris de votre non réciprocité Les foreuses défoncés à force de creusé jusqu’au profondeur de votre sens d’humanisme Les filtres émotionnels usagés remplissent de trop de vers caféines, d’un volcan en plein séisme Ses tapis rouges qui ont pris la poussière du désintéressement Le sommier mental exploser par ces matelas des rancunes Les matelas psychiatriques troués On ne m’a laissé que Cette mémoire–tourniquet qui ne tourne plus désormais Que sont le vent de la révolte de cette non-reconnaissance et des regrets Les sentiments -balançoire, qui penche plus vers la colère que le pardon, il est vrai Ses puits de science vidé par la fertilité de son inutilité
Il ne m’ont laisse que ce maillons que je semble symbolisé, D’une chaîne de l’amitié qui s’est brisée Tout n’est plus qu’une décharge d’objet à se débarrasser Ça prend trop de place pour l’aménagement des nouveaux combles Des nouveaux velux pour d’autre horizon d’amitié ont été installé, C’’est pourtant ce bijoutier que j’étais Qui border vos jours, Couche de rires par couche de rires, Qui repeignait votre façade émiettée Qui recousait fil de chair par fil de chair, Votre tapis rouge souvent déchire Qui fabriqué échelons par échelons, Cette échelle de l’amitié Avait soudé maillons par maillons, Souvenirs par souvenirs, Alliance par alliance, Cette chaîne de l’amitié, Qui avait fabriqué tige de fer par tige de faire Ce paratonnerre et Ce parapluie Émotionnel, Qui trier lettres par lettres, Ses enveloppes de maux que vous étiez, Colmater canal auditif par canal, auditif, Ses hommes fontaines quand elles étaient percer
Où est passer vos ramoneurs Qui videra cette cheminée qu’est mon cœur, De ces charbons de regrets, qui m’ont encrassé de malheur
Où est passer votre charpentier, Comment réparer cette charpente d’os désassemblé Sans cette échelle de l’amitié
Où est passer votre facteur, N’a-t-il plus le temps de poster ses timbres de voies, ces enveloppe charnelle
Où est passer votre plombier, Qui pourrait colmater ces fuites De cette gouttiére humaine, Ou de cette fontaine de tristesse humaine, Où est passer L’éboueur Dont le balaie rouge nettoierait cette mémoire - caniveau De ses déchets sentimentaux intérieurs Ses lettres froissées, ses timbres de voies déchirées, Noyé dans le vacarme d’un silence Mon âme- porcelaine brisée Ses assiettes fiscales gisant dans ce lit de soucis Brisé en éclats grâce à mon aide éclair Mais qui se recollent par le silicone de ces dettes morales Vous me deviez en clair Ses bols d’oxygène en fragments par la non reconnaissance Ses filtres émotionnelle déjà pour eux usages Effaçant l’encre sang de Ses damiers humains, Eteignant sous l’écoulement du temps Ses jambes allumettes Ses braises de l’amitié éteintes dans vos yeux Ses maillons rouillé de cette chaîne brisée Ses planches de sommier rouillé , ses enveloppes mouillées, déchirer, Ses branches rouillé de parapluie, Ses éclats de vers de lampadaires Ses tiges rouillé de paratonnerres
Mais, je n’ai pas de protège-tibia, à mettre à mon désespoir Pour me protéger des éclaboussure du passé, le pied de ses souvenirs Quand je marche dans les caniveaux de ma mémoire, Qui m’éclaboussent de ce que j’ai pu être et à quoi j’ai pu servir
Où est passer L’éboueur Dont le balaie rouge nettoierait ce trottoir De cette essence déversé du désespoir Qui fait tache d’huile dans le caniveau de ma mémoire Et Qui dessine sous cette pluie de brouillard Cet arc en ciel de couleurs en surbrillance proches du noir Cette chaîne de l’amitié Brisé maillons par maillons
Ces tapis rouges déchirer, Fil de chair par fil de chair,
Ces gouttières de l’amitié Percé canal auditif par canal auditif
Cette façade émiette Karchérisé couche d’indifférence par couche d’indifférence
Cette échelle de l’amitié arrachée Echelons après échelons
Ces paratonnerres, Rouillé tige de faire par tige de faire
Pendant que vous vous ne pensiez qu’à grimper l’échelle sociale, Que l’amitié n’a cesser de se dégrader ; par une continuité d’alternance De descendre étage sentimentale par étage sentimentale, De monter Palier d’indifférence par palier d’indifférence, Et de prendre l’escalier de la descente affective, Alors Méfiez vous de ne pas tomber, Rappelez vous de la brocante De ce que vous avez mis en vente Symbolisant ce parachute - paratonnerre, Ce parachute gouttières Qui aurait pu vous venir en aide Le jour ou échelons par échelons vous tomberez Mais qui N’a cessé de se dégonfler … Comme ce matelas affectif, matelas psychiatrique troué par les ronflement de peines, Le jour ou sur le trottoir votre cœur sera dévêtu, de sa couche sentimentale Et agonisera d’indifférence, en étant allongé
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