Moi je t’enlèverai un jour en ton pays
Toi mon tendre soleil, ma douce Leila
Connais-tu mon royaume aux citronniers trahis
Qui pleurent ton absence aux larmes à cappella ?
Aux orangers dorés, aux lauriers élancés
Aux myrtes amadoués. C’est là que tu viendras
Contre moi te blottir et m’aimer... enlacés
Sous les colonnes d’or, les statues cathedra
Mon jardin d’Hespéride où l’immortalité
Gloire de notre amour et sa virginité
Nous feront un manteau hors nos soleils brûlants
Une couche fleurie sous nos corps déferlants
Cavalier ; Leila, pastels
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