Et versifie encore et encore.... Te lire est un plaisir..

Amitiés

Superbe et émouvant poème

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mon blog : http://pacificlaude.blog4ever.com

J'espère Pampille que tu auras toujours assez de mots pour nous charmer avec tà poésie !
J''ai l'ordinateur en panne et je me casse en deux sur ma tablette pour lire vos écrits et miracle j'ai ressources à faire quelque copie/colle pour mes derniers envois et à partir de ce soir je pause pour la cause que j'ai énumère plus haut!
Suis pour les fautes éventuelles de ma tablette
Amitiés de plume
Marc

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Segolin183 mi-ange mi-démon

continue de versifier votre plume est belle et légère!

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Bonsoir pampille superbe et émouvant partage poétique, cela serai bien dommage que cela s'arrête


Amicalement

continue à versifier

Toujours te lire
Un plaisir qui ne doit pas s' arrêter

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Amicalement Alanna

Faudrait il au vers s’y fier
Pour continuer à écrire?
Si l’écriture est oubliée
Finie la joie de vous relire,

Aussi pour notre grand plaisir
Ne remisez pas vos cahiers,
Continuez donc à sévir
Votre talent nous manquerait.

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Il ne faut jamais remettre à deux mains ce que l'on peut faire avec une seule (Pierre Dac)

Souvent femme varie,
Bien fol est qui s’y fie.
— (Victor Hugo, Marie Tudor, Journée III, part. I, sc. I)
Comme il se trompait François I !
Mon amitié
Dumnac

superbe partage Pampille!!
faut surtout pas arrêter!!!
merci!
des bises

Surtout Pampille , continue à versifier, même si " Lui " tu le mets au fond d'un vieux tiroir, ne nous enlève pas le plaisir de te lire !

Merci pour ce très beau et émouvant partage reste la poésie pour exprimer la souffrance du cœur



Amitié
Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

serait ce un poème prémonitoire, écrire avant que l'inspiration ne se meure, pour l'instant elle est très présente et féconde, profitons en




yann

Ayant bien vérifié que vous versifiez vous nous avez clarifié
Qu'on peut encore sur la poésie se confier... Même si au temps on ne peut toujours se fier...


Amicalement NL...

Voyez je versifie

Un jour je ne pourrai plus jamais vous écrire
Le temps à bien des tours dans son sac à malice...
Je n'aurai plus de mots, de ceux que je respire
Je crains de n'avoir plus de vers à mon service.

Que ferais-je de vous au fond de ma mémoire
Déjà, par trop absent, je trouvais à vous dire
Les peines de mon cœur sur ce vieil écritoire.
Quand bien même sans vous j'exprimais mes délires

Je vais vous oublier dans mon plus vieux tiroir!
Car pour me souvenir de vous avoir aimé,
Vous l'aviez bien prédit, je ne pouvais y croire,
Je devrais d'un poème le relire à jamais...

Je ne m'inquiète pas, je vieillirai ainsi,
Auprès de votre absence que j'aimais à combler,
Car vous m'aviez quitté bien avant mon oubli
Voyez, je versifie, avant que d'arrêter...

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Quand le poème a des beautés, quelques taches ne me choquent pas