Merci pour ce partage, le temps est parfois plus fort que l'amour, la vie nous mène on ne sait où.

Merci pour ce triste et touchant partage sur la fin d'un amour qui s'en va lentement....



Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

Ce passé qui dérange ce présent, et Ce présent si féru de passé.... comment s'en sortir?

Hum...Il ne sait trop où il en est notre poète...
Heureusement qu' Alzheimer n'a pas entaché ses capacités poétales...

Amicalement NL...

Dommage ! C'est certainement une belle histoire qui s'arrête.

Claude

s'habituer à vivre autrement je connais

Doute redoutable.
Richards.

joli partage très touchant

belle et douce histoire d'un poème

Parfois les idées se mélangent.....on aime en désamour et on désaime en amour ce qui nous offre le doute...

***DAN***....

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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***

quand l'amour sans va , ne reste que regrets, ce poème est très émouvant,



yann

C’est malheureusement souvent l'usure du temps qui est cause de ces maux.

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Il ne faut jamais remettre à deux mains ce que l'on peut faire avec une seule (Pierre Dac)

triste et touchant ce poème
merci pour le partage
Denise

Bien dite la douloureuse fin d'un amour !

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Je crois que je ne t’aime plus
Depuis que tu n’es plus la même,
Que c’est même du temps perdu
De te consacrer ce poème.

Avant qu’ainsi tu te transformes,
Je t’offrais encore des fleurs
Et je savais mettre des formes
A te raconter mes douleurs.

A présent tu me dis des choses
Auxquelles je ne comprends rien,
Et de tous ces mots que tu oses
J’ai fait mon recueil de chagrins.

Ne m’en veux pas si vers une autre
J’ai tourné mon cœur et mon corps
Mais ce lit qui était le notre
N’est plus qu’un coffre sans trésors.

Tout doucement je m’habitue
A m'endormir sans tes baisers
Peu à peu je te perds de vue
Et je te laisse t’en aller.

Pourtant quand je suis trop malade,
Je voudrais tant que tu sois là,
Pour que mon cœur en marmelade
Puisse guérir entre tes bras.

Maudite soit cette mémoire
Qui malmène les souvenirs,
Qui superpose les histoires
Mêlant passé et avenir.