c'est un vrai suspens que tu nous propose
dans lequel on soupçonne une pudeur cachée
dans une rue banale d'une grande cité

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Geneviève

MERCI AU GUIDE

j'aime, 14ème rue

grace à vous, je découvre
celle ci

au plaisir de vous relire

bon mercredi

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

belle image de rêve et monde de la nuit et du souvenir
lilas

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la poésie est le parfum de l'ame

Mon blog [img]http://img4.hosting...

Belle lecture.... y aura -t-il une suite... Mystère... J aime les mystères.....

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dans l'eau est ma force
dans l'air est ma substance
dans la terre est ma vie
dans le feu est mon energie
vous etes mon 5 eme element

Une jolie image de New York dans ce bel écrit!
Amitiés
Alain

Bonsoir islander, très beau poème, une fin pleine de suspense

Amicalement

Et un joli aperçu de cette grande ville...bel écrit !

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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.

Bonsoir Yann,
De ces trois nuits pleines d’illusions et de poèmes tu ne t’en souviens que de cette histoire qui en plus est incomplète ! Mais tant mieux, c’est justement ce qui fait le charme de ce joli poème avec lequel tu nous régales !sourire
Merci Yann
Amitiés.

merci pour m'avoir fait sourire ....y a une suite ?? .....je plaisante .....

Presque un début de thriller ou de road movie , l'imagination du lecteur à l'œuvre

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mes amitiés, Halcyon

Bonjour Yann

Nous en savons déjà beaucoup, l'homme, le poète déambulait dans les rue, un peu perdu, et les souvenirs sont posés avec une émotion certaine.

Amicalement Franie

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Et si nous disions :Enigme à résoudre ?
J'entrevois la solution..'Tu n'en sauras pas plus !
Il s'en passe des choses à Neww York !

On n'en saura pas plus...Sourire...

Merci islander pour ce suspense en partage.

Un climat à la kérouac, comme un film de Ferrara, de Cassavetes, New York, le village, on s'y croirait.
Très beau

Amitié

Jean-Pierre

Strip tease à la quatorzième rue, cela fait un super titre de polar, en tout cas cela donne envie...et comme tu sais ménager le suspens....on s'y croirait.

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J’ai passé trois nuits dans la quatorzième rue,
En juillet 1996
A New York, au pays des ambulances
Seul avant de me rendre dans le Kentucky,
Dans la même petite chambre,
Avec mon sac à dos rempli d’illusions,
Avec mon passeport rempli de poèmes
Trois nuits ordinaires comme mes rêves,
J’ai passé trois nuits dans la quatorzième rue,
Avec un air de funambule,
Et tout ce dont je me souviens, c’est d’une fille,
Une inconnue qui fit un strip tease devant moi,
Après la tournée des bars du Village,
Chassant mon cœur comme un mauvais chat,
Vous n’en saurez pas plus, ...



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