Ils m’ont dit, ta partisane dans l’autre elle s’est exilé;
J’ai dit ma partisane, c’est un Pur dans l’amour scellé;
Angélique dans les quatre saisons, c’est elle qui décide;
Et C’est le drame nous coincent, en choisira le suicide;
Elle ne m’a offert que le bonheur, même sous d’autres latitudes;
Je connais bien ses désirs, ses nuits, et ses habitudes
Ma partisane est une déesse, affectée par le sort;
Opprimée aujourd’hui, demain l’histoire ressort;
Avant je connais rien sur l’amour, et ses détours
Maintenant c’est la vie, le paradis, pour toujours
Là où j’ai trouvé je t’aime, j’ai trouvé le plaisir
Je vais vivre les voluptés, les fantasmes des désirs.
Quand j’évoque le nom de ma reine, c’est la douceur;
Même agonisant, dans les profondeurs de la douleur;
Ô chérie ; Tu es née pour chérir l’amour, et la passion du savoir;
Je n’avais point de soucis concernant, le vivant de ton devoir.
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les années de disette dictent les poètes