Car est-ce-que les peaux aiment la,
art osé d'effleurer des mots,
caresse que les poèmes las
arrosés des fleurs et des maux
mordant, les maux, sillons de lame
qui de plumes et de dentelles écrits
morts dans l’émotion de l’âme
qui de plus m'aident dans tels écrits