Le monde est ainsi fait ... pas près de changer, je pense !

Bon dimanche.

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Merci noelopan!
tout à fait d'accord.
Amicalement à toi que je retrouve avec plaisir




Merci Nataraj pour ce beau poème
Très bon dimanche
Amicalement
LG



Je crains en effet qu'il soit longtemps d'actualité.
Merci pablo4
Amitiés
LG




Simszer, c'est vrai qu'il faut garder espoir; sans cela; à quoi bon ?
Amicalement
LG

Bonjour LAURAGAEL

Une lecture très appréciée !!

Entraidons nous et dispersons les chances !!!!

Mon amitié
Christophe

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en effet le monde est ainsi fait, par ci par là quelques exceptions et par dessus tout, le mystère...pourquoi les riches n'ont 'ils plus de pitié???

profonde réflexion, merci à toi et bon we

une bien triste réalité malheureusement

Bonjour Lauragael, une description sans concession de notre monde !
Merci pour ce profond partage.
Mes bisous.

Capricorne

Helas une bien triste réalité, mais tout n'est pas si noir, alors gardons l'envie et l'espoir d'un monde meilleur, bien amicalement, Simon...

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Visitez mon Blog et découvrez mes poésies du jour...

http://www.simzser.com
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Un texte qui de tout temps d'actualité. et fort bien emmené.

Bonjour LAURAGAEL

La différence augmente entre les pays pauvres et les pays riches et cela semble irréversible.

Dans chaque société, il en est de même entre les citoyens.

De plus en plus n'ont pas , en effet, accès au "Grand bal de la VIE".

Merci pour ce magnifique et émouvant poème qui nous rappelle à moins d'indifférence.

Bien à vous
Nat



Et L'hiver arrive pour ceux qui n'ont même pas d'abri!

L' Hiver Assassin - Poème signé : Angeline

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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.

Bonjour à toi

Le partage est à faire autrement...le centre d'intérêt ne doit plus être le fric....

bien à toi
Noel

Regardez ces armées des maudits de la chance
Errant désemparées, arbres sans frondaisons,
Ceux que la vie un jour sans la moindre clémence
A jetés au trottoir, au froid de l'abandon.

Ils n'ont pour étendard qu'un drapeau de misère
Fait de ces oripeaux qui leur glacent le sang,
On les appelait gueux, manants ou pauvres hères
Aujourd'hui sans logis mais rien n'est différent.

Et voyez ces vainqueurs qui se veulent superbes
Forts de leurs beaux habits cousus de pièces d'or,
Ils n'ont pas un regard pour ces peuples de l'herbe
Qui rampent à leurs pieds en attendant la mort.

Le monde est ainsi fait de partages étranges,
Du fléau nul ne sait qui commande la main,
Cohabitent ainsi les démons et les anges,
Certitudes d'hier, craintes des lendemains.

Et tous au même bal dansent sur la musique
D'un orchestre un peu fou qui ne sait plus jouer,
Qui se voudrait géant aux accents symphoniques
Qui n'est qu'un orphéon aux accords délabrés.