Fiona. Impossible de faire l'impasse sur une telle chose
Je regarde ces yeux
Joyeux et malicieux
Comme l’est tout le temps
Un enfant de cinq ans…
Le cheveu en bataille
Les pieds en éventail
Il prépare ses rails,
Et les autres se gaussent
Quand ensuite il la rosse,
Quand, pourquoi, comment,
Ce n’est pas important,
Oublions tous ces gens
Ils sont insignifiants
Pas même intéressants,
Elle, belle hirondelle,
La vie dans les prunelles
Et sur son dos des ailes
Sommeille dans une tombe
Comme une douce colombe,
Couronne sur la tête
C’est un ange à la fête,
Son rire si précieux
Fiona le donne à Dieu…
Martine
26/09/2013