Re: Mon souffle.
J’ai vécu, si souvent, causant en solitaire,
J’écoute, des oiseaux, la douceur de leurs chants,
Que me donne la vie en cadeau salutaire.
J’épandrai mes quatrains, partout, à bout de champs,
À la Muse Erato, je tente de complaire,
Qu’importe le sarcasme et les termes méchants.
Cher HAMID tes mots ne peuvent jamais déplaire, toi qui es douceur !
Fais surtout fi des sarcasmes... et des termes méchants... que ta Muse toujours te porte sur le fil des poèmes avec la même verve, que nous aimons tous... ici !
Merci pour tes mots... tu vois, je viens encore saluer les amis poètes.
Amitiés !
Et moi aussi, tu sais j'écoute les oiseaux, je les nourris, et je chante avec eux... et ils me répondent !
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« La poésie - par des voies inégales et feutrées - nous mène vers la pointe du jour au pays de la première fois.  »
de Andrée Chedid