une pensée, belle philosophie..

à méditer

merci pour ce poème en partage

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A travers une vision millénaire tu nous fais apercevoir la vérité d'aujourd'hui?
HONORE

superbe cher Yann
mes amitiés
yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

une très belle lecture

une très belle description
ouverture sur une grande discussion
lilas

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la poésie est le parfum de l'ame

Mon blog [img]http://img4.hosting...

"je vous admire grandes lois de l’univers,
la roue n’est pas une invention de l’homme mais de la nature
et je suis heureux parmi vous de n’être qu’un étranger,
sans armes ni valeur, un pauvre sous les arbres,"

une belle description, j'ai aimé te lire!!
amitié

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Bonjour Yann, une belle description pleine de sens que j'ai aimée.
Merci pour ce très beau partage.
Mon amitié.

Capricorne

Bonjour Islander,


"je vous admire grandes lois de l’univers,
la roue n’est pas une invention de l’homme mais de la nature
et je suis heureux parmi vous de n’être qu’un étranger,
sans armes ni valeur, un pauvre sous les arbres,"


J'ai beaucoup aimé ce texte, islander,

C'est vrai, si peu nous sommes

Face à la grandeur du monde

Juste "l'étranger" qui tombe et qui succombe

Les arbres sont sacrés et la nature qu'on sonde

Elévera ses bras à la face du monde

C'est elle qui gagnera. Nous ne serons plus là.

Toute mon amitié


Arwen

je vous admire grandes lois de l’univers,
la roue n’est pas une invention de l’homme mais de la nature
et je suis heureux parmi vous de n’être qu’un étranger,
sans armes ni valeur, un pauvre sous les arbres,

je vous redoute, norias impressionnantes de grandeur
sous le soleil syrien, mouvements sans calcul de l’eau
qui recréent les valeurs de la paix, la soif est apaisée
par vos pales qui battent l’ennui, comme un ciel,

alors je vous remercie d’étancher ma soif de voyages,
d’itinéraires dans les coeurs qui dansent comme des flammes vraies,
sous la lumière des pleines lunes bleues et fluides,

je revois, au soir, ces jeunes adultes se hisser sur les norias
et du sommet d’entre elles, comme un triomphe répété, plonger dans le fleuve sombre,
pensant vaincre la nuit dans toute sa brillance,
cette nuit où l’esprit conquiert les royaumes de sa propre souffrance.