Bonjour Lauragael, un très joli poème qui trouve le chemin du coeur.
Merci pour cette belle réflexion.
Mon amitié.

Capricorne

Et même si parfois apparait une terre,
Un îlot merveilleux de femmes et de fleurs,
Subsiste, malgré tout, comme une ombre légère
Qui voile un peu le jour et maltraite les heures...

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Plaisir à vous ici lire,LG!
Bonne journée à vous!

Driss

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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!

Driss

"avec le temps, va, tout s'en va ..."

Non, pas tout ... même si "le temps est assassin et emporte au loin ... "

heureusement ou pas; c'est selon !


Bon dimanche.

Un bien beau poème, Lauragael, empli de réminiscences, de nostalgie... et d'espoir ..


Très bon W.E. & amitiés.

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Ouvrez l'oreille, chaque mot possède un coeur qui bouge. (Nimier)

Partir pour prendre du recul ? et ensuite apprécier le lieu quitté tant l'herbe du pré voisin n'est pas forcément plus verte

amicalement
Noel

Comme j'ai beaucoup aimé lire cette poésie sur cet exil!
L'isolement qui est parfois dur mais dans cet instant de solitude, on peut toujours faire le point!
Cela ressemble à une sorte de méditation.
Amitiés!
Alain

superbe mots, un partage émouvant et si profond,

merci lauragael





yann

Bonjour LAURAGAEL

On voudrait s'exiler pour tout connaître et tout découvrir...l'important étant de garder de nos courts passages sur cette terre de très beaux souvenirs.

Amitiés

Christian

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je pourrais m'abstenir d'en dire plus.... mais cette île là flotte au-dessus de notre tête et pour ne pas sombrer dans l'oubli quoi de mieux que de la maintenir à flot avec les mots

mes amitiés Lauragael

On voudrait s'exiler et partir au hasard,
Laisser loin de son coeur des terres ennemies,
Chercher, aventureux, une nouvelle histoire
Mais l'exil est bien dur et l'ancienne survit.

Car il reste toujours dans un coin de notre âme
Une empreinte de pas qui ne veut pas mourir
Et qui, où que l'on soit, ranime cette flamme
Qui nous ronge le coeur à coups de souvenirs.

Et même si parfois apparait une terre,
Un îlot merveilleux de femmes et de fleurs,
Subsiste, malgré tout, comme une ombre légère
Qui voile un peu le jour et maltraite les heures.

On l'gnore, on la chasse, on veut fermer les yeux,
Il faut s'y résigner il n'y a pas d'exil
Qui sait, la mort un jour, à moins que dans les cieux
Se trouve encor quelqu'un qui attend sur une île

Pour nous dire voilà, de peur que tout s'efface,
Je garde ici pour toi des mots et des images,
Des miettes de ta vie comme petites traces
Que tu croyais perdues au fond de ton bagage.