Un grand merci à vous toutes et tous mes amis(es) poètes, mrsDreams, helo, poemic, cyrael, onan, pikaya, honoré, bouclier, juliette, tunisie, lesmotion hamid, islander, laDidounette, evelyne, boreal, lamkadmi, orchidée et thena, vos commentaires me vonnt droit au coeur.
Mes bisous et mon amitié.

Capricorne

Merci pour ce beau poème.Nous avons tous eu un Euzèbe que les parents utilisent pour dissuader les enfants de faire des bétises et souvent nous restons marqués par ce ou ces personnage imaginaire qu'on invente de toute pièce pour faire régner l'ordre... Ou pour dormir....

Merci pour ce saut dans notre enfance

Un cauchemar qui me fait voguer sur mon âme d'enfant!!
Merci pour ce beau partage
bon dimanche
amitiés

merci pour le partage

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Je ne suis qu'un individu de plus dans le rouage dans la vaste machine cosmique. Moi, qui croyais être libre et autonome, je ne suis qu'une poussière dans l'univers...

Bonsoir Capricorne, chez nous en Roumanie c'était les tziganes qui nous fermer le portails et
trembler de peur. Aujourd'hui j'ai pitié d'eux...

Souvenirs d'enfance, à chaques enfants ces craintes !
Toute mon amitié

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EvE-LyNe

Parfois des choses ou des personnes nous marquent à vie.
J'aime beaucoup votre écrit.

LaDidounette

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J'entends au-dessus de moi dans les cieux
Les anges qui chantent entre eux
Ils ne peuvent trouver de mot d'amour plus grand
Que celui-ci (Edgar Allan Poe)

envoutant et gracieux, mais au fond un merveilleux souvenir d'enfant, j'ai adoré,

amitiés

yann

Bonsoir Capricorne
un beau poème qui nous renvoie aux fins fonds de notre enfance ou chacun de nous avait son...Euzèbe.
merci pour ce beau partage

Amitié, Hamid

merci pour ce partage j'ai aime vous lire amicalement marilyn

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Poser des mots comme des petites balises, des mots beaux, tristes, qui nous transportent, et qui nous font voyager, rêver, fantasmer...
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" Je me souviens à peine
De la drôle de dégaine,
De cet épouvantail
A qui je n’ouvrais pas mon portail
De peur qu’il ne me prenne.
On disait qu’il mangeait
Les petits enfants pas sages.
Il fut la terreur de mon jeune âge."



l'enfance, et dire qu'avec des histoires pareilles nous avons grandi et nous avons appris, avec la peur, à respecter ...

de toute façon, ce n'est pas le cas de nos enfants!!!



c'est toujours un grand plaisir de te lire.

Ahmed.

Superbe poème !
Je me souviens d'un homme de mon village qui me regardait salement et qui me terrifiait ! C'était un peu mon Euzèbe ! Adulte je l'ai revu, et ça m'a amusée de n'avoir plus du tout peur... Merci pour ce partage.

Un salut cordial pour toi. Un plaisir est pour moi te lire. Je trouve assez amusant ton poème, je crois que d'une forme dans notre enfance, il a touché nous tous connaître Euzebe et rarement la mère se trompe. Merci beaucoup pour ton beau poème.

Nous avons tous un Euzebe dans nos souvenirs d'enfance, merci de nous l'avoir remis en mémoire;
HONORE

Ce joli poème me ramène dans mon enfance.
Mon Euzèbe à moi s'appelait Glorinthe ;
Tous les enfants avaient très peur....
Amitiés

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Je crois que chacun dans son enfance a eu son Euzébe et s'en souvient aujourd'hui avec nostalgie.

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Il ne faut jamais remettre à deux mains ce que l'on peut faire avec une seule (Pierre Dac)

un bel écrit..

qui relate nos peurs d'enfant.



amitiés CAPRICORNE

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

J'ai connu le même personnage
tout en couleurs aussi..
Il faisait peur et vendait " Rustica"..
C'était il y a bien longtemps aussi !

MERCI POUR CES SOUVENIRS CAPRICORNE

Amitiés

poemic

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MON 2eme RECUEIL...JE TE PORTE L'AUBE..EST DISPONIBLE..
http://www.oasisdesartistes.com/modules/newbbex/viewtopic.php?topic_id=97282&forum=47

Chacun ses peurs. Pour certains, c'était le Père Fouettard, pour vous c'était Euzèbe. Mais les peurs les plus fortes ne nous rendent que plus grands !

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Helo

Oulala, ça me rappelle des souvenirs, pourtant, j'étais sage ^^ J'ai beaucoup aimé lire ce poème empli de nostalgie Merci pour ce terrible et doux partage

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Il s’appelait Euzèbe,
Et achetait les peaux de lapins.
Toujours seul et sans collègue ;
J’entendais sa voix de bon matin,
J’en avais peur.
Ma mère me disait
« Si tu n’es pas sage… »
C’était la terreur,
Je donnais des gages
De bonne volonté.
Il avait la voix forte et grave
Son visage laid et sans grâce.
Il achetait les peaux de lapins
Pour quelques maigres rotins.
C’était il y a longtemps,
Soixante dix ans…
Je me souviens à peine
De la drôle de dégaine,
De cet épouvantail
A qui je n’ouvrais pas mon portail
De peur qu’il ne me prenne.
On disait qu’il mangeait
Les petits enfants pas sages.
Il fut la terreur de mon jeune âge.

Capricorne, le 21/05/2011