Je vous remercie infiniment

----------------

Moi,je reste coi devant ces vers si beaux qui débordent de véracité!

----------------
Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
...............................................................................................
Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

Azul ithri n tamsamane
Tanmmirt
Je n'envie pas les mortels!
Merci pour ces envies qui s'enchevêtrent pour tisser un très beau poème!
Amitiés
farid

----------------
"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

il faut ire que le vice mène le monde cher frère

J'aime beaucoup tes écrits
et je ne suis jamais déçu
et je le dis en toute objectivité
salam ramadaesque
toute mon amitié

----------------
Poète citoyen universel

Mon 2ème ouvrage, un recueil de poèmes est paru ce mois dans les Editions (numérique et papier) EDILIVRE - FRANCE.
Merci au site 'oasis des artistes' pour sa rampe de lancement.

sarco
lamkadmi
cactus

je vous remercie infiniment

----------------

Magnifique poème philosophique et rempli d'espoirs et d'envies, merci de ce partage,

Félicitations et au plaisir de vous relire,

----------------
James

Bonjour Si Mohamed,
Les envies nous guident certes mais il faut faire appel à la raison. Un poème qui se lit d'un trait. J'ai beaucoup aimé. mes amitiés.

L'envie, ce vice contraire à tout amour.
Merci mon frere pour le partage...

----------------
Je ne suis qu'un individu de plus dans le rouage dans la vaste machine cosmique. Moi, qui croyais être libre et autonome, je ne suis qu'une poussière dans l'univers...

Les envies s’enchevêtrent
Et conduisent les êtres
Vers les barreaux de l’arène
Le roi comme la reine…
Le pauvre comme le riche
Le généreux comme le chiche

Ils dévisagent des visages
Devant la vie sans visage
Où les impulsions s’envisagent
Le mal et le bien
Le cumul et le rien

Des envies conduisent
Les pas vers le trépas
Comme des tempêtes qui détruisent
Quoique le cœur n’admette pas
De rebrousser le chemin déjà traversé
Sous la nuit des ténèbres insensées

L’être devant la vie reste coi…
Devant l’immense tournoi
Prenant les bribes de joie
Qui se dessinent parfois
Sur la page des visages
Et deviennent vite sans repérage
Où le mal refait rage

MOHAMED ROUGIE
ARGENTEUIL /3/9/2010

----------------