magnifique poème,on espère voir la vie au bout du tunnel

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Vous avez besoin d'évasion,de défoulement,alors baignez-vous dans une "OASIS" de mots parmi les vers

il semble que quand la nuit tombe,la vie s'arrête,vraiment bien présenté

Alejandro,quoi sinon merci?
Canaille, c'est ta sensibilité qui fait sens et rien d'autre.
Eveidem, moi ausssi.
Monesille, vos mots près des miens.
Wardatarifit,aimer disiez-vous?
Sept,le mensonge est bien la plus grande des vérités, à l'endroit ET à l'envers.

A vous tous qui écrivez pour moi, merci.

question:

dans ce monde à l'envers, le mensonge ne serait il pas la plus grande des vérités ?

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" Le secret de ma tristesse est dans la vivacité de mon plaisir "

c'est fort !
amicalement

houria

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Aimer jusqu'à la déchirure Aimer, même trop, même mal, Tenter, sans force et sans armure, D'atteindre l'inaccessible étoile.

.(jacques brel)

Un poème semé par le vent du nord sous un grand nuage glacé, mais avec un petit accent du sud tout de même, à la fin ! Vers le soleil !

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Cultivez votre amour de la nature, car c'est la seule façon de mieux comprendre l'art! (Vincent Van Gogh)

je crois qu'il manque la dernière strophe . j'vois pas la vie !

mais oui il est beau ton poème ! un superbe cadeau pour une dulcinée pas trop déprimée j'espère !
bah je me permets Claude car je t'aime bien .

ce texte est superbe par sa complexité !!! la nuit est complice de la mort qui rôde. on a l'impression de revenir au temps des loups garous ..; ou de la bête du gevaudan. enfin, c'est comme cela que je le ressens. canaille

ton texte est magnifique et j'ai pris beaucoup de plaisir à me laissé bercer, lors de ma lecture, par le calibre bien mené de tes vers.

alejandro

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".

Le sinistre des vents ensemence des peurs
à l’aplomb de ces sols guerroyés de fureur.
Les cyniques des temps ardemment contribuant
d’un plomb bien trop pesant à taire les pénitents.

Effrangé par un deuil mais courant dans les erres
le fond sombre et plissé signe grave de qui ment
sa course sur toute place de ce monde en misère
et son ombre démente recouvrant des amants.

En cela regardant comme nuages noirs
d’un horizon voilant des poternes à terre
La peste de ses mots empestilant les soirs
quand déclinent des vies déclamant des Pater.

Et la bête toute immonde qui gévaude à envie
déglutissant le monde d’une salive sulfure
sous ce ciel moiré de tant d’éclairs d’azur
où basculent des morts de la mort vers la vie.