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Ethiel, si tu publies, je voudrais faire ta préface...

Marcher en tes vers, c'est errer dans le corridor de la mort, mais avec la rage aux tripes et le sang en fontaine, le regard encore perdu vers les collines anciennes, un corbeau et un rat en Rimbaud et Verlaine.

Je t'aime.

Lou, déchirée en te lisant.

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Mes sites web:

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Lou, aux nuits rossignol...

je refuse que louandra fasse la préface .j'ai la priorité !

mais tu avoueras qu'il doit être tellement difficile de t'aimer sans se perdre .je sais de quoi je parle ...moi j'entends aime moi malgré tout .si tu peux .
coup de blues ? ah ce fameux quai ...ces fameux trains .cette fameuse vie ....tu es un peintre particulier .toi seule sais rendre évidente la fragile et noire face cachée des choses .
te quiero me too ...

Attérrée que tant de souffrance puisse exister, j'ai quand même trouvé ton poème fulgurant de lucidité et de beauté à en perdre le souffle. Merci pour cette lecture et même pour cette musique triste à pleurer.

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"La sagesse est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit" (O. Wilde)

Ethiel,

Ce que j'ai retenu de ce poème n'est pas si sombre car en le lisant je vois ce message, viens n'aie pas peur du vide, je vois ce poème comme une recherche de délivrance même si le vocabulaire et le sens des phrases semblent donner tout autre chose, mes différentes lectures m'ont convaincu que ce " viens " est aussi "n'aie pas peur", une réponse à une question et une porte à claquer pour en ouvrir une autre.
Comme d'habitude je te donne mon passage préféré :

"Allez presse en appuie la détente où les cris
Jaillissent aux abois grimpant tant de paliers,
Qu'un huitième étagé sur des cieux obscurcis
Vient semer l'éclaircie, en cueillant l'oppressé..."

Tu es hors catégorie Madame !!!

Superbe comme à ton habitude, tant par les images que par la musique et les mots. Un plus la danse des corps reliés l'un à l'autre, malgré, malgré la vie, malgré tout. µet puis l'appel : Allez viens !

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Cultivez votre amour de la nature, car c'est la seule façon de mieux comprendre l'art! (Vincent Van Gogh)

Toujours aussi fan malgré l'absence...Amitiés...

...cela me fait penser à la vaisselle dans la baignoire...
dans le sens ou le début sent déjà la fin et par cette originalité donne essence à la suite.
en faite la chose se déroule plutot entre le couloir, l'ascenseur et l'escalier,
c'est à dire, nul part-

cela fait résonner quelques souvenirs étranges issus des pleurs du bien, relation acoustique et timbres capitonnés.

merci donc pour ses images perceptibles au long de votre texte-

unique.

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" Le secret de ma tristesse est dans la vivacité de mon plaisir "

ne vous ai-je jamais dit l'ironie
ne vous ai-je jamais dit l'intention
ne vous ai-je jamais prise dans ma vie
ne vous ai-je jamais dit persistez
ne vous ai je jamais dit mes excès
ne vous ai-je jamais dit vous savez..

Et pourtant vous savez ce qui se cache au fin-fond
une émouvante admiration...