Plume d'or Inscrit le: 19/6/2016 De: Envois: 1927 |
A fleur de peau ! A fleur de peau,
Femme qui veut s’ouvrir, s’épanouir à l’amour Laisses ton cœur battre à l’appel de nos sens Ton corps exhale les senteurs, des parfums intenses Qui mettent en émoi, mes pensées, nuit et jour.
J’aime ses courbes sensuelles, ses creux si profonds Que je me noie, chaque fois que je suis en toi Fantasmes en orgasmes, je jouis et c’est bon J’en ai perdu la voix, mais j’ai trouvé ma voix.
Jeux, plaisirs de la chair, je brûle tel un volcan Me consume à petits feux, tu me tues la vie Je suis fou amoureux, de ce bleu océan De ce regard, qui me transporte vers l’infini.
Jouvenceau en amour, il voit ce corps lascif Aux atours charnels, regard subjugué et captif Fantasmes érotiques, envies d’ardeurs, désirs Interdits, il veut découvrir tous les plaisirs.
Et elle, la belle, se sent gestuelle, sensuelle Ses mouvements sont corporels et naturels Ses déhanchements dévoilent les courbes et creux Elle met le feu divin à l’amant langoureux.
Epris de volupté, soupirs libidineux C’est pour lui, un jeu indécent, licencieux Il veut conquérir, pénétrer la citadelle Espérant enfin l’accord de la demoiselle.
Je veux vous livrer un secret, belle marquise Mon cœur est épris de votre beauté exquise Je ne suis pas né, un manant qui vous courtise J’ai pour moi la vigueur, vous serez surprise !
L’amant le plus aimant et vous faire l’amour Venez découvrir, goûter, la nuit ou le jour Au fruit défendu et aux plaisirs interdits Fantasmes et orgasmes, tout cela est permis.
Je vois déjà rosir, votre joli minois Sentez-vous, courir mes doigts, sur vos bas de soie Ils remontent vos jambes, en délicats frissons Je veux combler, ravir, vos désirs polissons.
Allongée sur le lit, elle s'endort près de moi Les rais de soleil caressent sa peau hâlée Des cheveux de jais, jambes gainées de soie J'entrevois les sillons, de sa douce vallée.
Ce corps lascif exposé à ma vue, sa beauté Naturelle, tout est porteur à l'acte d'amour J'ai ce désir, de m'allonger à ces côtés De troubler son sommeil, de l'aimer sans détours.
Je ne peux détourner le regard, subjugué Par ses formes parfaites, je la vois déesse Et nymphe des eaux, son allure conjugué À son charme discret, elle paraît druidesse.
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