Je suis un vrai fléau
Détruisant tout sur mon passage
Laissant que de mauvais messages
Je dois mourir sans un mot

Je laisserai les gens plus heureux
En tout cas moins malheureux
Je ne les détruirai plus
De mes actes sans issu

J’ai en moi le mal que je leur fait
Je ne peux plus supporter
Je n’ai plus de place pour la souffrance
J’ai utilisé toutes mes chances

Dans leur vie, je m’immisce
Je creuse une petite place
Puis je les détruis
Je ne suis qu’une garce !!

----------------
On a des mOts pour dire une peine légère,
Mais les grandes dOuleurs ne savent que se taire...

A chaque chose malheur est bon, et c'est bien la volonté de faire du bien qui se dégage entre les lignes de ton écrit qui me semble exprimé le désarroi d'un instant singulier...

Ombrenoire,

La souffrance s'extériorise de multiples façons, j'en ai goûté mille brûlures et tourments. La force de caractère est essentielle, ton poème ressemble a ses cris d'alarmes que l'on pousse au bord d'un précipice. Prend le parachute de tes mots et l'atterrissage se fera en douceur et puis rien n'est si grave surement.
Ta poésie m'a interpellé.