Sous les paupière de tes yeux
Luit cette lumière
Et cette poussière d’étoile
Où il n’existe pas de voile.

Alors dans cet infini,
Peuplé de galaxies ,
Tu es la seule qui a sa place dans ma pensée,
Et me trouble à t’aimer.

Dans ce choc émotionnel
Tu apparaît comme ces arcs en ciel
Courbe et réellement
A illuminer le firmament.

Nul ne peut te saisir
Sans prendre le risque de partir
Dans d’innombrables soupirs
Affligeant tous mes désirs.

Mais il ne tient qu’à toi
De me délivrer ce droit
Et pouvoir poser sur tes lèvres
Un baiser d’amour dans une vêpres

J e suis en accord
Avec le doute à l’effort
Libérant mon émoi
Et tu dire que je t’aime et ainsi soit.

J.V.

Encourager les poètes d'un petit mot. IRIS

quoi de + beau que le regard de l'être aimé , surtout lorsque l'on y lit le même amour aussi