Adieu poète, je t’aimais bien tu sais,
tu as mis le cap, Ferrat, vers l’infini,
mais qui donc va nous CHANTER L’EMBELLIE
au cœur de nos âmes blessées ?
Jusqu’au bout vous êtes resté l’homme honnête
tout à fait fidèle à vos convictions
de POETE qui A TOUJOURS RAISON
alors, merci pour l’homme que vous êtes.
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