Sur le marbre chaud, rare
le rythme des pas, flanants
un premier jour, calme
phénomène de printemps
la fleur perce l'asphalte, fondu
se nourrissant d'un soleil
brûlant
dans une étreinte démesurée
un espoir vertical
aussi fécond que s'élève les tours
de cristal réverbérante
te sens tu des ailes? plus massive
que la pierre des murs.
Forte d'un orgueil
qui te pousse à lutter
généreuse dans les rires
que te renvoient les échos
des enfants
dans ce bal qui te fait naître
d'une éternelle réciprocité

La place dans une vie on l'obtient en luttant...toujours et encore.Beau texte.

Amitiés,
Nat,

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La plume est la langue de l'âme.
[Miguel de Cervantès)