Sombre étranger
étranger que je connais
Derrière un foulard
Drapant ton Å“il vif et clair
Je m’y vois presque
Moi qui me perds au quotidien
Dans de sombres regards
Avec toute ma prétention
je crois décrypter les sensations

Femme héritière des ruines de la première mère
je me perds ,
j’erre,
non sans silence
mais aussi volubile qu’une jeune pie,

« -Accroche- toi ! crie la terrible mère,
-La larme se perd devient aussi sèche que le sable du Sahara,
alors oublie-toi car la feuille si longtemps pendue à sa fidèle branche
finit à jamais par s’oublier et s’abandonner ;
Arrache-toi de ces racines que tu crois mères
Et pose-toi délicatement sur ces ombres qui tapissent
tes murs si fièrement vêtus de blanc
Je t’oublie alors oublie moi
Car je ne suis pas la première des mères. »

Je tente en vain de déterrer les réminiscences
aucune chance car de la poussière fertile,
se décuplent des labyrinthes au secret infini.

t'inquièye pas les réminiscences vidront d'eux même.
un homme à dit, parlant de sa mère, : tu es la number one de mon coeur.
amitié

merci pour ta bienveillance!!