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Ta sœur ou ta femme, je ne sais……Sur mon site un message m’a laisséAvec un contenu d’un goût amerDont elle m’avoue ton mariage berbèreOh ! je lis cette lettre avec un air épatantAvec un cœur brisé et un corps tremblant Pour des jours, par monts et par vaux je penseEst-ce que tu es malade ou tu danses ?Pour des mois comptés, seule je m’ennuieEst-ce que tu es mort ou encore en vie ?Je m’éveille dans des nuits longues et interminablesEn pleurant et même de fêter la fête suis incapableMaintenant ça fait un moi et seize joursQu’enfin tu es là , de retour…….Pour assurer ces graves vices Au ce moment là j’ai senti ton injusticeTu as été pour moi une possession Mais là ton tout est mon interdictionTu as dit que c’est un problème pigéEt de ce mariage, ils t’ont obligéD’épouser ta cousine et après la divorcerPuis revenir à mes côtés et me fiancerNavrée, je ne puis accepter ce jeu du chien Donc tu peux revenir d’où tu viens !