Février mois de ma naissance sur ce monde
Bébé adorable d'une poussée maternelle
Du noir aux larges couleurs de ces bandes
Un cri s'échappe de moi même sans querelle
C'est le premier jour
Je ne vois que du blanc
Sur le ventre de ma mère chaud
Ma première tétée
Mon père joyeux de ce garçon beau
M'embrasse et lève ces mains au bon dieu
Offre des roses pleines de parfum au plus haut
Au plus haut pour maman sur ce lieu
C’est le deuxieme jour
Je ne vois que du blanc
Sur ses bras chauds
Son sein contre ma petite bouche rose
Les jours passent et laissent pousser un homme
Qui rend le revers de la médaille a ces deux
Ma mère et mon père comme un dogme
Ne laissent jamais cet homme heureux.
C’est la fin de nos jours
Je ne vois que du blanc
Sur ce banc froid
Il ne reste plus que l'amour.