La nuit fort silencieuse m’ouvre ses bras,
Mais la peine trop puissante m’éloigne de là.
Je navigue en des eaux troublées par ton absence,
Troublée par la douleur dont j’ai goûté l’essence.

Je suis là devant toi, tu ne distingues pas
Les larmes sur mes joues qui n’appartiennent qu’à toi.
Tu es là près de moi et je te sens amie,
J’ai bien peur qu’en mon sein résonne l’amour meurtri.

Viens par là te lover, viens sur mon cœur aimer.
J’ai la vie pour te dire que le bonheur complet,
Réside dans ta présence et sa douce tendresse
N’est pas loin dans ton âme, non loin de ta tristesse.

Je combats tous les jours sous l’assaut répété,
De ta pure ignorance quand je ne veux qu’aimer.
Je partage ton toit, tu partages le mien,
Les enfants qui grandissent et le mal en refrain.

Je combats chaque instant les démons du passé.
Que revienne vaillant le gout de tes baisers.
Que tes bras s’ouvrent encore, que jaillisse ta jouissance,
Que du toit qu’on partage, jamais je ne m’élance.


Esteban / Stéphane

Pourquoi demander pardon quand tout est si bien dit.

Amicalement
Chibani

L'amour n'est pas toujours évident...ton poème m'a touché...
Sophie.

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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

Ah, rien n'est jamais aussi simple qu'on le désirerait parfois. tu le dis si bien.

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Cultivez votre amour de la nature, car c'est la seule façon de mieux comprendre l'art! (Vincent Van Gogh)

ehhhhh oui
je me lamente dans ton poème
merci pour ta tendresse

mes amitiés
Le bédouin